
Philippe Fénelon
French composer born in 1952 in Suèvres, Loir-et-Cher.
Philippe Fénelon was born in France in 1952. He began studying piano at the Conservatoire d’Orléans, taught by Claude Ardent and Janine Coste. He continued his studies at the Conservatoire de Paris (CNSMDP), in the composition class of Olivier Messiaen, graduating with highest honors in 1977. Encouraged by André Boucourechliev, Fénelon dedicated his Ballade pour hier (1976) to him. In parallel, he studied at the École nationale des langues orientales vivantes (now INALCO). He won the Jury Prize at the Stockhausen Competition in Bergamo in 1980 and held a residency at the Casa Vélazquez in Madrid from 1981 to 1983.
Fénelon’s fascination with poetry and dramaturgy have been a cornerstone of his aesthetic from the beginning, and his commitment to prioritizing narrative structure in the construction of his musical work can be heard in his earliest compositions, such as Les trois hymnes primitifs (based on poems by Segalen, 1974) or Les chants du héros (based on poems by Rabindranath Tagore, 1975). This led him to create a significant body of vocal compositions, notably operas: his first, Chevalier imaginaire (1984-1986), based on the work of Cervantes and Kafka, premiered in 1992 and was followed by Rois (1988-1989), Salammbô, after Flaubert (1992-1996), Faust (2003-2004), Judith (2006-2007), and then La cerisaie, after Chekov (2008-2009). For the three-hundredth anniversary of the birth of Jean-Jacques Rousseau, Fénelon composed JJR, citoyen de Genève with a libretto by Ian Burton, which premiered at the Grand Théâtre de Genève in September 2012.
Much of his other work draws on great literary texts, or weaves in forms and references drawn from ancient poetry and music, such as Dix-huit Madrigaux (1996), based on Rilke’s Duino Elegies; In darkness (1998), inspired by Renaissance settings of Lamentations and based on Elizabethan poetry; the Magnificat (2002); Leçons de ténèbres (2003); Deux airs de concert (1999-2006); and Ich lasse dich nicht (2007), inspired by the motet. He has continued to produce vocal compositions including Les fourmis, a “suite philosophique“ for baritone, piano, and drum (2008) and Les portes de Babel for four vocalists and string quartet (2009).
In addition to his vocal compositions, Fénelon has written numerous instrumental pieces. His first instrumental compositions, Lointain for ensemble (1977) and “Du, meine Welt !” (1979) show already the great freedom of his style, melding aleatory sequences and set structure. Maipù 994 and Diagonal in 1983, Onze Inventions for string quartet (1988) and his instrumental cycle Mythologies (1989-1990) all affirm this desire for experimentation. Gloria for large orchestra (2004-2005), a ballet piece for ensemble titled Pasodoble (2006), and compositions for soloists such as Le calme des puissances for piano (2008) or Anima for tenor viola da gamba (2010) are more mature examples of his approach.
Fénelon has won many international awards and honors, including the Prix Georges Wildenstein in 1983, the Prix Hervé Dugardin in 1984, and the Prix Villa Medicis hors les murs in 1991. He was invited to Berlin as a DAAD composer-in-residence in 1988 and received a fellowship from the Fondation Beaumarchais in 1990 for his third opera, Salammbô; in 1992, he was awarded the Prix des nouveaux talents en musique dramatique by the Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD), which awarded him a second prize in 2004. The Académie des Beaux-Arts awarded him the Prix Rossini in 2006 and the SACEM awarded him the Grand prix de la musique symphonique in 2007. He is a Chevalier de l’Ordre national du mérite and a Chevalier de la Légion d’honneur.
In 2018, Philippe Fénelon donated his archives to the Bibliothèque nationale de France.
© Ircam-Centre Pompidou, 2011
Sources
- Marguerite Haladjian, Philippe Fénelon (site de Philippe Fénelon, voir ressources documentaires).
By Emmanuel Reibel
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Ayant tenu à distance respectable les deux grandes esthétiques qui dominaient durant ses années de formation – le postsérialisme et la musique spectrale –, Philippe Fénelon s’est toujours considéré comme un compositeur indépendant : goûtant Puccini autant que Berg, Kurtág ou Messiaen (son professeur au Conservatoire de Paris, dans la classe duquel il obtint le Prix de composition en juin 1977), il écrit une musique ouverte à l’expérimentation, mais attachée à la notion de discours, déployant de vastes dramaturgies sonores et revendiquant la recherche de l’émotion. Peut-être est-ce la raison pour laquelle ce passionné d’art lyrique, dont la vocation fut révélée par le choc des Noces de Stravinsky dirigées par Boulez à Bayreuth en 1970, se consacre toujours davantage au genre de l’opéra, depuis la fin des années quatre-vingt dix. Du Le Chevalier imaginaire à JJR, citoyen de Genève, ses sept partitions lyriques constituent un axe majeur de son catalogue, riche de plus d’une centaine de partitions pour instruments solistes, musique de chambre, orchestre ou chœur. Cette œuvre diversifiée témoigne à la fois d’une évolution, en l’espace de près de quatre décennies, et de profondes constantes qui révèlent l’affermissement d’un style personnel.
De l’expérience aléatoire à l’expression de l’errance labyrinthique
La Ballade pour hier (1976) est emblématique de ses premières œuvres, marquées par la musique de Boucourechliev et réservant une part de liberté aux interprètes. Conçue comme un labyrinthe doté de trois entrées, la partition (un grand format carré de 50 cm de côté) ménage pour le pianiste plusieurs chemins matérialisés par une multitude de flèches reliant différentes cellules musicales. Plus que l’œuvre ouverte, Fénelon expérimente en cette fin des années soixante-dix une alliance entre l’écrit et l’aléatoire. S’il abandonna rapidement ce style compositionnel, celui-ci le marqua néanmoins en profondeur : à la fois dans le sens où il ne goûta jamais vraiment, par la suite, les techniques de prédéterminations formelles (« dans toute ma démarche d’écriture, affirma-t-il, c’est le hasard contrôlé qui a prévalu et qui prévaut toujours1 »), et dans le sens où l’errance labyrinthique demeura – par-delà l’expérience aléatoire – une thématique majeure de son œuvre.
Sans doute n’est-ce pas un hasard si cette dernière est traversée par un imaginaire urbain : la ville est tout à la fois dédale moderne, lieu de trajectoires multiples et simultanées, paradis ou enfer du Wanderer contemporain. Évoquant le chaos du trafic urbain, Diagonal, pour quatorze instrumentistes (1983), tire son nom de la grande artère de Barcelone, port d’attache du compositeur. Ses Onze Inventions pour quatuor à cordes (1988) furent inspirées par Berlin, juste avant la chute du mur : « c’est justement la déstructuration de la ville qui a suscité l’éclatement de la forme2 ». Fénelon écrivit lui-même, à la suite de déambulations nocturnes dans une ville du nord de l’Italie, les poèmes de Notti, pour « voix et contrebasse obligatoire » (1990). La forme musicale tire donc souvent sa logique des caprices de la topographie, ou de pérégrinations urbaines : si Maipù 994 (1983) était un clin d’œil à l’adresse de Borges à Buenos Aires, Midtown, pour deux trompettes et dix-sept instrumentistes (1994) naquit d’une contemplation du Rockfeller Center et de la cathédrale St Patrick’s, depuis une chambre du New York Hôtel ; et Omaggio (a Tiepolo), pour violon seul (1990), fut suscité par la découverte, à Vérone, d’une immense fresque en partie détruite par les bombardements de 1945, dans la salle de bal du Palazzo Canossa.
Or l’errance topographique gagne une dimension formelle et spatiale : dans Les Combats nocturnes, pour piano et percussions (1986-1987), le premier mouvement – « Dédale improvise sa danse du labyrinthe » – peut s’accompagner d’une chorégraphie. Mosaïque au sol, le labyrinthe est simultanément trajectoire temporelle pour l’interprète, et cheminement de l’esprit pour l’auditeur. Il n’est pas étonnant que les deux premiers opéras de Fénelon soient indissociables de cette esthétique. Thématisant et intériorisant l’idée d’errance, la musique « pure » se fait Labyrinthe dans Le Chevalier imaginaire (tel est le sous-titre de deux intermèdes instrumentaux, liés à l’expression de la folie de Don Quichotte) ; et dans Les Rois, revisitant, via Cortázar, le mythe du Minotaure, Fénelon reprend en guise d’intermède le titre du premier mouvement de ses Les Combats nocturnes. Imaginant qu’un monde de lumière et d’harmonie règne au cœur du labyrinthe, l’opéra tout entier se mue en métaphore de l’œuvre musicale : gardant en son sein l’utopie de l’harmonie, visant à l’ordre par-delà le chaos, conjurant toute forme d’errance intellectuelle en proposant une trajectoire émotionnelle.
Par-delà les avant-gardes : la voix chantée et les références externes
Fénelon a souvent présenté Épilogue, pour piano (1980), comme le lieu d’une inflexion majeure de son style : il y abandonne l’aléatoire au profit d’une écriture stricte construite à partir de structures très élaborées, mais il y met surtout en scène, avec ironie, sa confrontation à l’héritage collectif de l’avant-garde. Prix du jury au concours international K. H. Stockhausen, cette partition de sept minutes s’inspire de matériaux tirés des Klavierstücke, élaborés de manière sérielle ; mais un ré omniprésent, obsessionnel, annule toute la logique de ce langage ! Plus qu’une déclaration d’indépendance, on peut lire dans cette œuvre un quasi-épilogue à l’avant-garde, du moins dans ses composantes idéologiques et téléologiques. Fénelon se révèle en cela de son temps, même inconsciemment, si l’on en juge la proximité de sa démarche avec les réflexions contemporaines de Lyotard sur la postmodernité, ou avec la profonde inflexion stylistique d’un Ligeti au tournant des années quatre-vingt. Avec Pré-Texte, deux ans plus tard, Fénelon achève sa mue, renouant définitivement avec la voix (abordée dans quelques partitions de jeunesse), et avec les références musicales externes : deux caractéristiques majeures de son écriture à venir.
Son amour de la voix chantée a commencé par rimer avec pyrotechnie vocale. Une pièce comme Pré-texte se montre héritière du théâtre musical des années soixante-dix, faisant jongler, dans un style de performance, l’interprète avec de multiples modes de déclamation, dans des élocutions rapides de phonèmes (l’intérêt du musicien pour les sonorités de ces derniers est à lier à sa passion pour les langues, dont le bulgare qu’il étudia aux Langues Orientales). Son goût constant pour la virtuosité vocale se révèle dans les performances qu’il réserve à la voix de soprano colorature. Une vélocité fulgurante est requise pour ses Airs de concert, écrits à partir de deux extraits de la Psyché de Corneille (2007), et augmentés d’une vertigineuse « Improvisation sur le mot perfido ». Cette dernière trouve un écho dans le rôle d’Annette (Faust) : mais la terrifiante Pasiphaé était déjà un soprano colorature, dans Les Rois, tandis qu’Ania, dans La Cerisaie, est une nouvelle Zerbinette. Au-delà de l’agilité vocale ou de l’hystérisation spectaculaire, Fénelon renoue très tôt avec la dimension mélodique propre à l’écriture vocale. Si le lyrisme était apparu dans son œuvre depuis Latitudes, pour clarinette et quatorze instruments (1981), il s’épanouit, à partir Du blanc le jour son espace, pour baryton et quinze instruments (1984), dans la large veine vocale de son catalogue, scandée notamment par les Dix-huit Madrigaux d’après les Elégies de Rilke (1995), In darkness (1998), le Magnificat (2002), ou encore Les portes de Babel pour quatuor vocal et quatuor à cordes sur des poèmes de Jean-Yves Masson (2009).
Cette tension lyrique trouve son apogée dans le genre de l’opéra, où Fénelon réconcilie son goût pour la création et sa passion pour le grand répertoire, jusqu’alors dissocié de son expérience compositionnelle, mais assimilé en profondeur dans l’activité de chef de chant qu’il avait longtemps exercée. Lui-même souvent librettiste ou co-librettiste de ses opéras, Fénelon construit généralement, sous la forme d’une dramaturgie séquentielle, une trajectoire personnelle à partir des sujets denses qu’il aborde : La Cerisaie de Tchekhov (2010) est ainsi recomposée par le prisme de la seule scène du bal, et dans JJR, citoyen de Genève (2012), la vie et l’œuvre de Rousseau sont envisagées, de façon thématique, par tableaux juxtaposés mêlant les âges et les voix du philosophe genevois, entrecroisant les figures historiques et les personnages de fiction. Si la dramaturgie de Fénelon ne peut se résumer à un « retour » à la fiction narrative, propre à l’histoire du genre (l’influence de Zimmermann se retrouve par exemple dans les scènes simultanées de Salammbô), elle renoue avec un certain nombre de codes que le théâtre musical s’était employé à déconstruire : adhésion du spectateur à la représentation par l’immédiateté de la puissance émotionnelle, chœurs et ensembles vocaux (dixtuor de La Cerisaie), airs véritables reliant les personnages à la mémoire du genre lyrique, dimension spectaculaire de l’opéra assumée jusque dans sa grandiloquence (scène du pillage de Salammbô, tempête de Faust). Sous la forme d’un plaisant vaudeville mettant en musique différents articles de Rousseau relatifs à l’opéra, la dernière scène de JJR, citoyen de Genève se présente même comme une mise en abyme démonstrative du genre lyrique, dans toute sa diversité et son épaisseur historique.
Rapport à la mémoire : tel est justement le second axe réintroduit par Pré-Texte. Le principe de la référence n’est jamais exhibé comme un manifeste postmoderne, d’autant que les citations nourrissent la trame des œuvres de façon parfois latente. Même l’auditeur averti peut ne pas saisir ces musiques dans la musique, qui se font tour à tour citations tronquées, allusions subreptices, éphémères parodies, pastiches plus développés, trompe-l’œil. Ces références sont pourtant constantes depuis les années quatre-vingt : un tango de Carlos Gardel à la fin de Maipù 994, Brahms dans Saturne, Dallapiccola et Verdi dans Onze Inventions, un motet de Palestrina dans Midtown, etc. Citations ou pastiches interviennent de façon plus décomplexée à partir du Chevalier imaginaire, qui s’approprie pour la lettre à Dulcinée la lettera amorosa de Monteverdi. Certaines références peuvent alors devenir aisément perceptibles, comme dans les Dix-huit Madrigaux qui, avec l’aide d’un instrumentarium ressuscitant l’ombre de l’époque baroque, plongent l’auditeur dans l’univers de la polyphonie ancienne. Ce qui n’empêche pas Fénelon de multiplier les références, depuis la lyrique médiévale (une chanson du troubadour Raimon de Miraval) jusqu’à Brahms, en passant par Bach ou Monteverdi.
Chacun de ses opéras est ainsi marqué par des références appelées par le sujet : longue incursion d’un choral germanique dans Faust (emprunté à Jean-Chrétien Bach), univers russe et modal dans La Cerisaie, présence marquée du Devin du village dans JJR, citoyen de Genève. Mais dans chaque partition, cette couleur spécifique s’accompagne d’emprunts beaucoup plus éclectiques à Wagner, Berg, Milhaud, Kurt Weill, etc. Cette façon de faire valser librement les références, savantes ou populaires (dans son ballet Pasodoble par exemple), proches ou lointaines, réelles ou fantasmées, fait naître dans ses partitions une dramaturgie de la mémoire, caractéristique de la manière dont Fénelon a construit son identité compositionnelle : une pensée libre et éclectique qui fonde sa modernité sur une nouveauté d’invention toujours enracinée dans le terreau du passé.
Du Titan et de l’Orphée
Concevant son œuvre comme un dialogue avec l’histoire de la musique, Fénelon entend ainsi réconcilier passé et présent, musique et discours, consonance et dissonance, voire atonalité et tonalité : de ce point de vue, son Gloria pour orchestre (2005) peut constituer le paradigme de son écriture, avec sa richesse de textures, sa narrativité sous-jacente, ses fréquentes polarités s’orientant vers un mi majeur/mineur final. Deux esthétiques différentes s’entremêlent néanmoins dans son œuvre, faisant appel à des imaginaires et à des styles d’écriture fort différents : elles cohabitent et se complètent comme le yin et le yang. Il y a, chez Fénelon, du Titan et de l’Orphée.
La première veine, en partie héritée de la génération précédente et d’esprit expérimental, repose sur l’athématisme, la densité de l’écriture, la fragmentation du matériau, les affrontements de masse, la transcendance de l’exécution : « Cette surabondance de signes, d’éléments extérieurs au texte principal, la virtuosité dans les phrases, est probablement ce qui caractérise le plus ma musique pendant toute la période qui s’étend sur un peu plus d’une quinzaine d’années, surtout à partir de 1980 […] et jusqu’à Salammbô3. » Il est lié à un imaginaire mythologique réveillant les violences primordiales (Les Combats nocturnes, la série des Mythologies) ; on retrouve cette énergie débordante et chaotique dans l’athlétique premier Concerto pour piano et orchestre (1996), dans la scène du pillage refermant le cinquième tableau de Salammbô (unique incursion de Fénelon dans l’univers électro-acoustique), et jusque dans Le calme des puissances, pour piano (2008). Auteur d’une pièce pour percussion intitulée Zabak, en référence aux rituels des danses africaines, Fénelon s’apparente bien à quelque chaman cherchant à conjurer à travers son œuvre la violence de forces telluriques ou psychiques.
À cette écriture âpre, titanesque, répond chez Fénelon une postulation vers l’épure et la confidence mélancolique. Dans sa musique, les procédés de raréfaction du son comme du matériau sont fréquents, et la béance de ses silences peut être à la mesure de ses effets de saturation. Au sein du Titan s’est ouverte, au fil des années, une brèche révélant un poète élégiaque. Chants de perte, de plainte, de deuil, lamentos traversent son œuvre et imposent avec force une écriture thématique et mélodique, partiellement tonale ou modale, et teintée de mélancolie profonde. Cette veine épurée s’épanouit par exemple dans le Magnificat (2002), dans les Leçons de ténèbres (2003) ou dans La Cerisaie, tout entière traversée par le lyrisme élégiaque, mais elle fut surtout inaugurée par les Dix-huit Madrigaux, incontestable chef-d’œuvre d’épure non départie de complexité, puisque Fénelon se fond dans le genre qui fut historiquement celui de la fragmentation de la langue et de l’éclatement des textes. Nulle nostalgie archaïsante, donc : dans ce style polyphonique, en continuité avec l’écriture chorale d’un Poulenc et d’un Ligeti, il conquiert des consonances extatiques, une sobriété de diction n’excluant pas les envolées lyriques, un raffinement d’écriture qui donne la sensation du naturel. De quoi faire entendre, avec la voix de l’ange (haute-contre), voix intérieure du poète chez Rilke, celle de l’Orphée qui chante en lui ?
- Ph. Fénelon, Arrière-pensées, entretiens avec Laurent Feneyrou, Musica Falsa, 1998, p. 125.
- Ph. Fénelon, Interview Ricordi, s. d., p. 14, contenu dans le dossier « Fénelon » du CDMC.
- Ph. Fénelon, Arrière-pensées, p. 98.
© Ircam-Centre Pompidou, 2012
- Solo (excluding voice)
- L'offrande for oboe (1974), 5 mn, Inédit
- Ballade pour hier for piano (1976), between 16 mn and 20 mn, Inédit [program note]
- L'œil du rêve for clarinet (1995, 1976), 8 mn, Amphion
- Caprice for viola (1982, 1977), 5 mn, Amphion [program note]
- Épilogue for piano (1980), 8 mn 30 s, Amphion
- Dédicace for cello (1982), 9 mn, Amphion [program note]
- Melody of spring 1947 Hommage à Carlo, for piano (1984), 10 mn [program note]
- Paral.lel for bassoon (1984), 6 mn 30 s [program note]
- Halley for piano (1986), 8 mn 30 s [program note]
- Hélios Mythologie III, for harpsichord (1989), 19 mn [program note]
- Impromptu educational piece for clarinet (1990), 3 mn
- Notti for voice and double bass obbligato (1990), 10 mn, Durand [program note]
- Omaggio (a Tiepolo) for solo violin (1990), 9 mn, Amphion [program note]
- Nit for viola (1994), 4 mn 30 s
- Zabak for percussion (1994), 9 mn 30 s [program note]
- Die Nacht for accordion (1997), 12 mn 30 s, Amphion [program note]
- Nocturnes for guitar (1999), 11 mn
- Canto for cello (2004), 4 mn 30 s, Zabak Productions
- Le calme des puissances for piano (2008), 20 mn, Zabak Productions [program note]
- Anima for tenor viola da gamba (2010), 9 mn
- Chamber music
- Horizons for cello and two pianos (1975), 4 mn, Inédit
- Sonate for two pianos (1977), 16 mn, Zabak Productions
- …et nunc… for four ondes Martenot with or without percussion (1979, 1987), 14 mn, Inédit [program note]
- Trio for small Eb clarinet, Bb clarinet and Bb bass clarinet (1980), 15 mn, Alphonse Leduc [program note]
- Per archi for string quartet (1983), 9 mn 30 s, Zabak Productions [program note]
- Deux épigrammes for double bass, harp and percussion (1986), 9 mn, Ricordi [program note]
- Les Combats nocturnes for piano and percussion (1986-1987), 14 mn 30 s, Amphion
- Onze Inventions for string quartet (1988), 19 mn, Ricordi [program note]
- Orion Mythology II, for clarinet, trombone, viola and harp (1989), 21 mn, Amphion [program note]
- La colère d'Achille Mythology I, for flute, English horn, horn and violin (1989-1990), 15 mn 30 s, Amphion [program note]
- Ulysse Mythologie IV (1990), 22 mn 30 s, Amphion [program note]
- Quatuor à cordes n° 3 (1991), 15 mn 30 s, Amphion
- Fragment I for violin and cello (1997), 8 mn 30 s, Amphion [program note]
- Epha for bassoon and viola (2000), 14 mn 30 s [program note]
- Fragment II for basset horn and viola (2002), 8 mn 30 s, Zabak Productions [program note]
- Fragment III for trumpet and violin (2002), 9 mn, Zabak Productions [program note]
- Kiosk for piano four hands (2002), 4 mn 30 s, Zabak Productions
- Fragment IV for flute and cello (2003), 10 mn 30 s, Zabak Productions [program note]
- Quatuor à cordes n° 5 (2005), 15 mn, Zabak Productions [program note]
- Yala for string trio (2005), 16 mn, Zabak Productions [program note]
- Instrumental ensemble music
- Appels for orchestra (1976), 17 mn, Inédit
- Lointain for ensemble (1977), 13 mn, Inédit
- Dans l'ombre du ciel for ensemble (1978), 11 mn, Inédit [program note]
- Diagonal for ensemble (1983), 15 mn, Amphion [program note]
- Éclipses for orchestra (1983), 26 mn [program note]
- Maipù 994 for ensemble (1983), 13 mn 30 s, Amphion [program note]
- Métaphore for ensemble (1983), 10 mn, Zabak Productions
- Maipù 994 for five instruments (1984), 12 mn 30 s, Amphion
- Next day for brass instruments (2000), 11 mn 30 s, Amphion
- Yamm ballet music, for orchestra (1999-2000), 30 mn [program note]
- Gloria for orchestra (2004-2005), 13 mn 30 s, Zabak Productions [program note]
- Postludes for string orchestra (2005), 6 mn, Durand [program note]
- stage Pasodoble ballet for ensemble (2006), 48 mn, Zabak Productions
- Paléomusique for lithophones and percussions (original version) (2014), 20 mn, Zabak Productions
- Concertant music
- « Du, meine Welt ! » for cello and ensemble (1979), 17 mn 30 s, Inédit [program note]
- Latitudes for clarinet and wind instruments (1981), 12 mn, Inédit
- Saturne concerto n°1 for violin and orchestra (1987-1988), 23 mn 30 s, Ricordi [program note]
- Midtown for two trumpets and ensemble (1994), 21 mn 30 s, Amphion [program note]
- Concerto for piano and orchestra (1996), 21 mn 30 s, Amphion [program note]
- Concerto n° 2 for piano and orchestra (2001-2002), 22 mn 30 s, Amphion [program note]
- Vocal music and instrument(s)
- Les trois hymnes primitifs for mezzo-soprano and seven instrumentalists (1974), 12 mn, Inédit
- Les chants du héros for baritone and five performers (1975), 13 mn 35 s, Inédit
- Entre for soprano, two horns and strings (1976-1977), 11 mn 30 s, Inédit [program note]
- Mirages version b, for female voice and piano (1978), 9 mn, Inédit
- Du blanc le jour son espace for baritone and ensemble (1984), 17 mn 30 s, Amphion [program note]
- Le Chevalier imaginaire opera in a prologue and two acts (2005, 1984-1986), 1 h 35 mn, Ricordi [program note]
- Le Nom de Bach monologue, for soprano, flute, bandoneon and piano (1989), 9 mn, Ricordi
- le jardin d'hiver for solo tenor, twelve mixed voices and twelve instrumentalists (1991), 35 mn, Amphion [program note]
- Dix-huit Madrigaux version for six voices with string trio and theorbo (1995-1996), 1 h 15 mn, Amphion [program note]
- stage Élégies scenic work after Eighteen Madrigals, for six voices, theorbo and violin, viola, cello (1995-1996), 1 h 15 mn, Durand
- elec ircam stage Salammbô opera in three acts and eight tableaux (1992-1996), 1 h 55 mn, Durand
- In darkness original version for soprano and five instruments (1998), 21 mn 30 s, Zabak Productions
- In darkness version for soprano and string trio (1998), 21 mn 30 s, Zabak Productions
- Quatuor à cordes n° 4 for soprano and string quartet (1999), 31 mn, Amphion [program note]
- stage Les Rois opera in three acts (1988-1989, 2002), 2 h, Ricordi
- Leçons de ténèbres for three voices and instrumental ensemble (2003), 1 h 35 mn, Zabak Productions [program note]
- stage Faust opera in two acts (2003-2004), 2 h 10 mn, Zabak Productions
- elec stage Utopia musical and choreographic story for four dancers, cello, choir and electronics (2005), 60 mn, Inédit [program note]
- Deux airs de concert for soprano and orchestra (1999-2006), 13 mn 45 s, Zabak Productions
- Improvisation for soprano and orchestra (1999-2006), 3 mn 45 s
- Ich lasse dich nicht for choir and instrumental ensemble (2007), 16 mn, Zabak Productions
- Judith monodrama in one act, for soprano and orchestra (2006-2007), 50 mn, Zabak Productions
- Les fourmis philosophical suite, for baritone, piano and drum (2008), 14 mn, Zabak Productions
- stage La Cerisaie opera in two acts with a prologue and an epilogue (2008-2009), 1 h 50 mn, Zabak Productions
- Les portes de Babel for vocal quartet and string quartet (2009), 23 mn, Zabak Productions [program note]
- stage JJR, citoyen de Genève opera in one act or philosophical entertainment in seven scenes and an eighth - vaudeville (2011), 1 h 50 mn about
- stage Flaubert & Voltaire one act opera (2014), 1 h 15 mn, Zabak Productions
- Six poèmes de Charles Baudelaire for voice and piano (2016), Zabak Productions
- A cappella vocal music
- Mirages version a, for soprano (1976), 8 mn, Inédit
- stage Pré-Texte for female voice (1982), between 12 mn and 20 mn
- elec Within my stiff cold hand musique en conteneur, for two voices, tapes and environment (1985), 19 mn 30 s, Inédit
- Dix-huit Madrigaux original version for six voices (1996), 53 mn 30 s, Amphion
- Winter nights from le jardin d'hiver for eight voices (1996), 25 mn, Amphion [program note]
- La nuit for mixed choir a cappella (1999), 7 mn 15 s, Zabak Productions
- Zwei Psalmen for mixed choir (2000), 6 mn
- Magnificat for six voices (2002), 7 mn
- Chant de la fiancée for two sopranos and mezzo-soprano (2007), 3 mn 40 s, Zabak Productions
- Chant du fiancé for two tenors and bass (2007), 3 mn 40 s, Zabak Productions
- Electronic music / fixed media / mechanical musical instruments
- elec Cadenza ballet music (2002)
- elec K.danza ballet music (2002) [program note]
- Unspecified instrumentation
- elec Paléomusique version with electroacoustic tape (2014), 45 mn, Zabak Productions
- 2016
- Six poèmes de Charles Baudelaire for voice and piano, Zabak Productions
- 2014
- stage Flaubert & Voltaire one act opera, 1 h 15 mn, Zabak Productions
- Paléomusique for lithophones and percussions (original version), 20 mn, Zabak Productions
- elec Paléomusique version with electroacoustic tape, 45 mn, Zabak Productions
- 2011
- stage JJR, citoyen de Genève opera in one act or philosophical entertainment in seven scenes and an eighth - vaudeville, 1 h 50 mn about
- 2010
- Anima for tenor viola da gamba, 9 mn
- 2009
- stage La Cerisaie opera in two acts with a prologue and an epilogue, 1 h 50 mn, Zabak Productions
- Les portes de Babel for vocal quartet and string quartet, 23 mn, Zabak Productions [program note]
- 2008
- Le calme des puissances for piano, 20 mn, Zabak Productions [program note]
- Les fourmis philosophical suite, for baritone, piano and drum, 14 mn, Zabak Productions
- 2007
- Chant de la fiancée for two sopranos and mezzo-soprano, 3 mn 40 s, Zabak Productions
- Chant du fiancé for two tenors and bass, 3 mn 40 s, Zabak Productions
- Ich lasse dich nicht for choir and instrumental ensemble, 16 mn, Zabak Productions
- Judith monodrama in one act, for soprano and orchestra, 50 mn, Zabak Productions
- 2006
- Deux airs de concert for soprano and orchestra, 13 mn 45 s, Zabak Productions
- Improvisation for soprano and orchestra, 3 mn 45 s
- stage Pasodoble ballet for ensemble, 48 mn, Zabak Productions
- 2005
- Gloria for orchestra, 13 mn 30 s, Zabak Productions [program note]
- Postludes for string orchestra, 6 mn, Durand [program note]
- Quatuor à cordes n° 5, 15 mn, Zabak Productions [program note]
- elec stage Utopia musical and choreographic story for four dancers, cello, choir and electronics, 60 mn, Inédit [program note]
- Yala for string trio, 16 mn, Zabak Productions [program note]
- 2004
- 2003
- Fragment IV for flute and cello, 10 mn 30 s, Zabak Productions [program note]
- Leçons de ténèbres for three voices and instrumental ensemble, 1 h 35 mn, Zabak Productions [program note]
- 2002
- elec Cadenza ballet music
- Concerto n° 2 for piano and orchestra, 22 mn 30 s, Amphion [program note]
- Fragment II for basset horn and viola, 8 mn 30 s, Zabak Productions [program note]
- Fragment III for trumpet and violin, 9 mn, Zabak Productions [program note]
- elec K.danza ballet music [program note]
- Kiosk for piano four hands, 4 mn 30 s, Zabak Productions
- stage Les Rois opera in three acts, 2 h, Ricordi
- Magnificat for six voices, 7 mn
- 2000
- Epha for bassoon and viola, 14 mn 30 s [program note]
- Next day for brass instruments, 11 mn 30 s, Amphion
- Yamm ballet music, for orchestra, 30 mn [program note]
- Zwei Psalmen for mixed choir, 6 mn
- 1999
- La nuit for mixed choir a cappella, 7 mn 15 s, Zabak Productions
- Nocturnes for guitar, 11 mn
- Quatuor à cordes n° 4 for soprano and string quartet, 31 mn, Amphion [program note]
- 1998
- In darkness original version for soprano and five instruments, 21 mn 30 s, Zabak Productions
- In darkness version for soprano and string trio, 21 mn 30 s, Zabak Productions
- 1997
- Die Nacht for accordion, 12 mn 30 s, Amphion [program note]
- Fragment I for violin and cello, 8 mn 30 s, Amphion [program note]
- 1996
- Concerto for piano and orchestra, 21 mn 30 s, Amphion [program note]
- Dix-huit Madrigaux version for six voices with string trio and theorbo, 1 h 15 mn, Amphion [program note]
- Dix-huit Madrigaux original version for six voices, 53 mn 30 s, Amphion
- elec ircam stage Salammbô opera in three acts and eight tableaux, 1 h 55 mn, Durand
- Winter nights from le jardin d'hiver for eight voices, 25 mn, Amphion [program note]
- stage Élégies scenic work after Eighteen Madrigals, for six voices, theorbo and violin, viola, cello, 1 h 15 mn, Durand
- 1994
- Midtown for two trumpets and ensemble, 21 mn 30 s, Amphion [program note]
- Nit for viola, 4 mn 30 s
- Zabak for percussion, 9 mn 30 s [program note]
- 1991
- Quatuor à cordes n° 3, 15 mn 30 s, Amphion
- le jardin d'hiver for solo tenor, twelve mixed voices and twelve instrumentalists, 35 mn, Amphion [program note]
- 1990
- Impromptu educational piece for clarinet, 3 mn
- La colère d'Achille Mythology I, for flute, English horn, horn and violin, 15 mn 30 s, Amphion [program note]
- Notti for voice and double bass obbligato, 10 mn, Durand [program note]
- Omaggio (a Tiepolo) for solo violin, 9 mn, Amphion [program note]
- Ulysse Mythologie IV, 22 mn 30 s, Amphion [program note]
- 1989
- Hélios Mythologie III, for harpsichord, 19 mn [program note]
- Le Nom de Bach monologue, for soprano, flute, bandoneon and piano, 9 mn, Ricordi
- Orion Mythology II, for clarinet, trombone, viola and harp, 21 mn, Amphion [program note]
- 1988
- Onze Inventions for string quartet, 19 mn, Ricordi [program note]
- Saturne concerto n°1 for violin and orchestra, 23 mn 30 s, Ricordi [program note]
- 1987
- Les Combats nocturnes for piano and percussion, 14 mn 30 s, Amphion
- 1986
- Deux épigrammes for double bass, harp and percussion, 9 mn, Ricordi [program note]
- Halley for piano, 8 mn 30 s [program note]
- Le Chevalier imaginaire opera in a prologue and two acts, 1 h 35 mn, Ricordi [program note]
- 1985
- elec Within my stiff cold hand musique en conteneur, for two voices, tapes and environment, 19 mn 30 s, Inédit
- 1984
- Du blanc le jour son espace for baritone and ensemble, 17 mn 30 s, Amphion [program note]
- Maipù 994 for five instruments, 12 mn 30 s, Amphion
- Melody of spring 1947 Hommage à Carlo, for piano, 10 mn [program note]
- Paral.lel for bassoon, 6 mn 30 s [program note]
- 1983
- Diagonal for ensemble, 15 mn, Amphion [program note]
- Maipù 994 for ensemble, 13 mn 30 s, Amphion [program note]
- Métaphore for ensemble, 10 mn, Zabak Productions
- Per archi for string quartet, 9 mn 30 s, Zabak Productions [program note]
- Éclipses for orchestra, 26 mn [program note]
- 1982
- Dédicace for cello, 9 mn, Amphion [program note]
- stage Pré-Texte for female voice, between 12 mn and 20 mn
- 1981
- Latitudes for clarinet and wind instruments, 12 mn, Inédit
- 1980
- Trio for small Eb clarinet, Bb clarinet and Bb bass clarinet, 15 mn, Alphonse Leduc [program note]
- Épilogue for piano, 8 mn 30 s, Amphion
- 1979
- « Du, meine Welt ! » for cello and ensemble, 17 mn 30 s, Inédit [program note]
- …et nunc… for four ondes Martenot with or without percussion, 14 mn, Inédit [program note]
- 1978
- Dans l'ombre du ciel for ensemble, 11 mn, Inédit [program note]
- Mirages version b, for female voice and piano, 9 mn, Inédit
- 1977
- Caprice for viola, 5 mn, Amphion [program note]
- Entre for soprano, two horns and strings, 11 mn 30 s, Inédit [program note]
- Lointain for ensemble, 13 mn, Inédit
- Sonate for two pianos, 16 mn, Zabak Productions
- 1976
- Appels for orchestra, 17 mn, Inédit
- Ballade pour hier for piano, between 16 mn and 20 mn, Inédit [program note]
- L'œil du rêve for clarinet, 8 mn, Amphion
- Mirages version a, for soprano, 8 mn, Inédit
- 1975
- Horizons for cello and two pianos, 4 mn, Inédit
- Les chants du héros for baritone and five performers, 13 mn 35 s, Inédit
- 1974
- L'offrande for oboe, 5 mn, Inédit
- Les trois hymnes primitifs for mezzo-soprano and seven instrumentalists, 12 mn, Inédit
Site Internet
- Site de Philippe Fénelon, www.philippefenelon.net
- « Philippe Fénelon, le chant du labyrinthe », invité d’Arnaud Merlin dans Le portrait contemporain le 18 avil 2018 sur France Musique.
- « Philippe Fénelon : “La modernité ne se décrète pas” », résumé du rendez-vous La Musique comme théâtre organisé par la SACD, 16 avril 2018.
- Michèle Tosi, « Le compositeur Philippe Fénelon donne ses archives à la BnF », ResMusica, 6 février 2018.
(liens vérifiés en septembre 2022).
Discographie
- Philippe FÉNELON, Magnificat, chœur Arsys Bourgogne, direction : Pierre Cao, avec des œuvres de Thierry Escaich, Pierre-Adrien Charpy, Nicolas Bacri, Guillaume Connesson et Régis Campo, 1 cd Accords, 2006, 476 9939.
- Philippe FÉNELON, extraits de Dix-huit Madrigaux, dans « Répertoires polychromes 3 », Les Jeunes solistes, direction : Rachid Safir, avec des œuvres d’Edith Canat de Chizy, Jean-Christophe Feldhandler, Michael Jarrell, Bruno Giner, Yoshihisa Taira et Georges Boeuf, 1 cd MFA Radio France, 2001, 216038.
- Philippe FÉNELON, Dix-huit Madrigaux, Les Jeunes solistes, direction : Rachid Safir, 1 cd Grave, 1998, GRCD 10.
- Philippe FÉNELON, Halley ; Omaggio ; Zabak ; Deux Épigrammes ; Épilogue ; Notti ; Les combats nocturnes, Sylvie Beltrando, Florent Boffart, Florent Jodelet, Maryvonne Le Dizès, Joëlle Léandre, 1 cd MFA-Radio France, 1997, 216015.
- Philippe FÉNELON, Omaggio (a Tiepolo), Florent Boffard : piano, Florent Jodelet : percussion, Joëlle Léandre : contrebasse, Sylvie Beltrando : harpe, Maryvonne Le Dizès : violon, 1 cd MFA Radio France, 1997, 216015.
- Philippe FÉNELON, Nit, dans « Hommage à Dominique Troncin », Christophe Gaugué, alto, avec des œuvres de Frédéric Durieux, Joshua Fineberg, Gérard Grisey, Betsy Jolas, Jacques Lenot, Alain Louvier, Frédérick Martin, Philippe Manoury, Gérard Pesson, Éric Tanguy, 1 cd MFA Radio France, 1995, 216007.
- Philippe FÉNELON, « Mythologies », La colère d’Achille (Mythologie I) ; Orion (Mythologie II) ; Hélios (Mythologie III) ; Ulysse (Mythologie IV), Ensemble Fa, direction : Dominique My, 1 cd MFA - Thésis, 1993, THC 82057.
- Philippe FÉNELON, Le chevalier imaginaire, Le Roy Villanueva, Aurio Tomicich, Mélanie Armistead, Menai Davies, Philippe Doghan, Luis Masson, Ensemble intercontemporain, direction : Peter Eövös, 1 cd Erato, 1992, 4509-96394-2.
- Philippe FÉNELON, Orion (Mythologie II), Alain Damiens, clarinette, Ensemble intercontemporain, avec des œuvres de Iannis Xenakis, Philippe Haim, Jacques Lenot et Vinko Globokar, 1cd MFA Radio France, 1990, 581277.
- Philippe FÉNELON, Onze inventions, Quatuor Rosamonde, avec des œuvres d’Henri Dutilleux et Philippe Hersant, 1 cd MFA Radio France, 1990, 581280.
- Philippe FÉNELON, Diagonal ; Maipú 994 ; Épilogue ; Paral.lel, Caroline Haffner : piano, Alexandre Ouzounoff : basson, Ensemble intercontemporain, direction : Peter Eötvös, 1 LP Harmonia Mundi, 1986, HMC 5180.
Bibliographie
- Philippe FÉNELON, Déchiffrages : une vie en musique, Paris, Riveneuve éditions, 2017.
- Philippe FÉNELON, Histoires d’opéras, Actes Sud, 2007, 233 pages.
- Philippe FÉNELON (Rencontre avec), « Paroles en musique », dans Actes des ving-troisièmes assises de la traduction littéraire , Arles, ATLAS/Actes Sud, 2006.
- Philippe FÉNELON, « Les Architectures de l’invisible. Entretien avec Laurent Feneyrou », dans Stéphane Michaud et Gerald Stieg (sous la direction de), Rilke et son amie Lou-Andreas Salomé à Paris, coéd. Presses de la Sorbonne Nouvelle et Bibliothèque Nationale de France, Paris, 2001.
- Philippe FÉNELON, Arrière-pensées : Entretiens avec Laurent Feneyrou, éditions Musica Falsa, Paris, 1998.
Filmographie
- Philippe FÉNELON, La vuelta al día 2007-2008, 40 min.
- Philippe FÉNELON, Aurora Bernárdez leyendo a Cortázar, 2007, 28 min, Mexique, États-Unis.
- Philippe FÉNELON, Leyendo a Cortázar, 2006, 3 min. 30, [réalisé pour l’exposition consacrée aux archives photographiques de Julio Cortázar].
- Philippe FÉNELON, La vie est plus courte qu’un jour d’hiver, [sur la vie de la compositrice Leni Alexander], 2005, 52 min [version espagnole, Santiago de Chile, 2007].
- Philippe FÉNELON, 87 Galle Road, Bentota, [sur une maison de l’architecte sri lankais Geoffrey Bawa], 2005, 9 min. 10.
- Philippe FÉNELON, Carnet 1. Anne-Marie Pécheur, Paris, L’Archipel, 2002, 26 min.