Le catalogue de Galina Oustvolskaïa compte vingt-cinq œuvres, auxquelles il convient d’ajouter dix autres œuvres détruites, perdues, reniées ou rebaptisées :
- Quatuor à cordes (1945), partition détruite au milieu des années 1960, création inconnue ;
- Sonate pour violoncelle et piano (1946), partition détruite au milieu des années 1960, création inconnue ;
- Sonatine pour violon et piano (1947), édition originale inconnue, création inconnue ;
- Jeunes Pionniers (1950), suite symphonique, édition originale inconnue, création inconnue ;
- Sinfonietta (1951), en trois mouvements, sur des thèmes propres et des thèmes populaires, partition détruite au milieu des années 1960, création inconnue ;
- L’Homme de la haute montagne (1952), poème-cantate pour basse, chœur d’hommes et orchestre, partition probablement détruite, création inconnue ;
- Aurore sur la patrie (1952), cantate, partition probablement détruite, création inconnue ;
- Enfants (1955), suite symphonique, édition originale en 1958, création en 1957 ;
- Chant de louange (1961), pour chœur d’enfants, trompettes, percussion et piano (sur un poème de Sergei Davidov), édition originale en 1974, création inconnue ;
- Symphonie n° 2(1967), distincte de laSymphonie n° 2 du catalogue officiel, création inconnue, édition originale inconnue.
À ces œuvres s’ajoutent encore cinq musiques des films :
- République de Mordovie (1951) ;
- L’Automne de Boldino (1951, perdu ?) ;
- Musée russe (1954, perdu ?) ;
- Gogol (1954, perdu ?) ;
- La Jeune Fille et le Crocodile (1956).