ME est le second volet d’une trilogie qui voit la collaboration entre le compositeur Edmund J. Campion et le poète John Campion.
ME est virtuel, exploration en temps réel de la naissance et du développement de la conscience dans son sens égotiste et patriarcal. Le personnage « ME » (représenté par le baryton solo) croît au travers d’une série d’archétypes et d’incarnations historiques du « surhomme » (au sens Nietzschéen). ME est métamorphique et récursif et s’exprime au travers du flot dynamique de la seule voix électroacoustique.
La forme générale de ME reprend les 7 phases yogic classiques suivantes :
Préconscience ME, espace voyelle ouverte
ME construisant le mur du langage
Le canon narcissique de ME
ME en « chanson épique »
ME s’adressant à la foule
La mise à feu de ME
ME virtuel
Tous les sons électroniques entendus dans ME ont pour origine la voix de Patrice Balter.