Au niveau de l’écriture, l’échelle dont l’harmonie se métamorphose graduellement en complexe faisant le « loop » apparaît. Je considère métaphoriquement cette échelle comme un « trou noir » et ce trou noir avale des « pulsars » joués par des ensembles où ces pulsations sont compressées par cette échelle. En outre, je réalise quelques effets provenant de la musique électronique propre : il y a des effets de l’orchestration réalisée par la superposition des sons instrumentaux et des bruits (masquage), la réverbération, retard etc.
Pendant toute la durée de cette pièce, l’harmonie dans lesquelles des intervalles sont en symétrie et qui est sur l’échelle que j’ai montrée au-dessus est toujours présente. A priori, cette musique propre comporte le risque de disparaître par cette échelle.