C’est sans doute la prégnance du son du koto qui aura permis de réunir au Japon les pièces de Maresz, Combier et Cendo. En effet, elles mettent en scène, dans des esthétiques très différentes, des instruments à cordes pincées ou frappées, de la harpe au cymbalum en passant par la guitare. Seule la pièce du fameux compositeur japonais, Ichiro Nodaïra, sera « soufflée ». Mais c’est l’électronique qui reliera définitivement ces œuvres et c’est avec l’Ircam qu’elles se feront entendre au Tokyo Spring Festival.
Une co-production Tokyo Spring Festival / Ircam / Ensemble court-circuit.
Avec le soutien de l’Institut français.