Trois quatuors vocaux, un petit assemblage de percussions, une écriture à 12 voix réelles, quatre langues en un texte où s’invite l’occitan, strates rythmiques combinées aux effets éoliens de kalimbas à bruiteurs accompagnant le conte, un cri, la douce rumeur d’un souvenir de chants basques et arabo-andalous : FLORS.
Henry Fourès.