« Il est question ici d'une véritable recomposition de la Scène du va-et-vient (1980), à partir des mêmes thèmes et des mêmes idées. La composition se développe sur des éléments particulièrement dansants tandis qu'apparaissent, dans le miroir déformant de la mémoire, des réminiscences du Clavecin bien tempéré de Jean-Sébastien Bach, sorte de livre de chevet, échantillonné et manipulé en un cycle hasardeux. Cette Fantaisie, qui se balance entre une formule obsessionnelle et des fragments de mémoire, est peut-être comme un hommage. »
Luc Ferrari.