« Un jour, un metteur en scène et un dramaturge viennent me voir et me disent : Nous montons pour l'Opéra de Munich, une nouvelle version mirobolante du Freischütz de Carl-Maria von Weber. Or, il se trouve qu'il y a un acte que ce compositeur n'a pas pu composer parce qu'il n'en avait pas les moyens techniques. Voulez-vous le composer ? Weber avait en effet décrit très précisément les bruits d'une forêt parcourue d'animaux plus ou moins mythiques et de mystères. Ce que l'on me demandait était de me mettre en action comme un spécialiste de la fiction réaliste. »
Luc Ferrari.