« Sans extravagance, mais peut figurer sans honte dans un programme, peut servir de liaison ou de matière d’improvisation, peut être découpée en tranches, peut se jouer à plusieurs, etc. (10’) Les interprètes utilisent alors la partition comme matière et décident ensemble de son orchestration.
Les parties écrites peuvent se jouer comme une sorte d’homophonie et les parties improvisées peuvent se disperser et devenir extrêmement hétérophoniques.
En dehors de ça, ils n’ont qu’à se débrouiller.
Quand je dis claviers, cela veut dire que c’est aussi bien piano, synthétiseur, marimba, vibra, etc. »
Luc Ferrari.