A Glauco (1997) est une œuvre où j'explore les différents registres du violoncelle en partant d'un geste de base : un glissando très lent, ascendant, de 23 quarts de ton (7ème majeur + 1/4 de ton) entre sib 2 et la (+ 1/4)3.
Différentes élaborations et séquences de préparation de ce geste principal constituent le reste de l'œuvre.
Le titre de cette pièce fait référence à Glauco (la mer), fils de Sisifo et père de Bellerofonte.
Francisco Luque.