Réalisation au studio d'Éliane Radigue, Paris.
Seconde partie de ce qui formera plus tard la Trilogie de la mort.
« La double source d’inspiration de cette pièce évoque le paradoxe de certains dessins d’Albers ou d’Escher dans lesquels un élément des volumes devient le sas ou l’inter/face, l’inter/phase qui donne accès à un autre espace volumétrique à la fois logique et paradoxal. Transposition d’un parcours imaginaire autour de la montagne la plus sacrée de l’Himalaya, le mont Kailash, voie d’accès vers d’autres sphères d’existence. » Éliane Radigue