Ce film rassemble trois essais où Peter Foldès utilise le trucage vidéo pour transposer à sa manière trois chorégraphies contemporaines de Dora Feilane. Seul Bongo Fuego a reçu une musique de Bernard Parmegiani à base de percussion « sauvages » qui évoluent en parallèle à la chorégraphie dédoublée, projetée en négatif à l'intérieur de sa silhouette.
Philippe Langlois.