Cette œuvre prend son titre d’une phrase retrouvée dans une chanson de Charles Aznavour :
…et de ne plus te voir…
Cette musique est construite en prenant en compte un principe très simple, des attaques sur des instruments de percussion, la harpe où des pizzicati dans les cordes laissent comme trace la même sonorité récupérée par un autre instrument (soit les cordes où les bois), la musique s’accélère petit a petit par rapport a la complexité de l’harmonie. Celle-ci est basée sur deux accords qui se construisent peu à peu. Au sommet de l’œuvre, ils se retrouvent ensemble, et au cours de l’avancée dans la pièce, ils mélangent leurs notes capricieusement.

The work takes its title from a phrase of Charles Aznavour song:
…et de ne plus te voir…
This music is constructed following one very simple process, attacked notes on percussion instruments, the harp or sometimes pizzicato from the strings which left a trace retaken by some other instrument (strings or woodwinds), this music gets faster as the harmonic complexity grows, and the harmony is based on two three note chords that will be sounding at the same time in the climax of the piece and that will mix up their notes freely during the development of the piece.