The setup and the execution of the electroacoustic part of this work requires a Computer Music Designer (Max expert).

Version Information

Documentation date
2 septembre 2013
Version
Max6
Status
valid
Validation date
3 mai 2018
Length
11 min
Upgrade motivation
add Max "playbar" object to facilitate the rehearsals

Other Versions

Max MSP1 octobre 2009

direct to disk1 octobre 2009

Detailed Staff

Soloist
vibraphone

Detailed staff comes from Brahms, send mail to ressources-contenus@ircam.fr for correction.

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LosingTouch_sept2013_Max6.zip

alex augier

commentaire

Max6 version

497.24 Mo


Instructions

Max6 version

Direct to disk version

To play this piece, you can also read the multichannels audiofiles "Losing-AllChannels.aif" in any sofware that can play multi-channel soundfile, such asthe audio-midi sequencer REAPER. (this free software can be downloaded at http://www.cockos.com/reaper/)



N.B.

Version 48KHz of Losing Touch can be available if necessary. Contact us.


Program Notes

En composant Losing Touch pour vibraphone solo et bande, j’ai voulu réaliser une sorte d’unité timbrique en dérivant la majorité des sons électroniques de l’analyse et de la resynthèse d’échantillons préenregistrés de vibraphone. Cette démarche incluait la mise au point de vibraphones échantillonnés, ainsi que d’« instruments » hybrides dérivés du vibraphone, obtenus à l’aide du programme « Additive », développé à l’Ircam. Par exemple l’un de ces « instruments », exclusivement réalisé à partir de l’élément « bruit » du son du vibraphone (par filtrage de toutes les fréquences harmoniques), s’opposait à un autre « instrument », contenant uniquement l’aspect harmonique du son. Aussi, avec l’aide de Marie-Dominique Bonnet, ai-je élaboré un ensemble de cinquante tambours accordés, avec l’aide du logiciel de modélisation physique Modalys (ex Mosaïc).

Pour la seconde partie de mon travail précompositionnel, je me suis servi, aidé par Mikhail Malt, du programme PatchWork basé sur Lisp (créé par Michael Laurson et développé à l’Ircam), pour isoler tous les ensembles numériques construits à partir des facteurs du nombre 120. Chacun de ses constituants, lorsqu’on en fait la somme, est égal à l’un des facteurs (c’est à dire : 1 + 2 = 3, ou bien 2 + 5 + 6 + 10 + 12 + 15 + 30 + 40 = 120, etc). Dans cette pièce, ces ensembles numériques fonctionnent en tant que durées. J’ai ensuite utilisé Patchwork pour analyser les données et isoler tous les ensembles dans lesquels les permutations circulaires d’un ensemble donné placées rythmiquement sur une grille temporelle, n’entraînaient pas de tuilage rythmique, si ce n’est avec l’impulsion initiale. Enfin ce programme m’a permis de calquer un champ harmonique prédéfini sur une trame rythmique constituée de ces ensembles.

Bien entendu, toutes ces procédures techniques n’ont en fait été qu’un outil au service de fins purement subjectives. Les ensembles rythmiques et harmoniques ont été conçus comme une alternative ou plutôt un enrichissement des pratiques harmoniques et métriques occidentales et non-occidentales traditionnelles. Ainsi, ici, le temps frappé est défini par la simultanéité rythmique périodique sous-tendant le système. Les canons circulaires qui en résultent ont été conçus pour être spatialisés, rendant ainsi la polyphonie plus évidente et produisant un effet global de matière sculptée, à l’intérieur de l’œuvre.


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