mise à jour le 23 janvier 2023
© Esteban Zúñiga

Denis Dufour

Compositeur et pédagogue français né le 9 octobre 1953 à Lyon.

Denis Dufour commence ses études musicales au Conservatoire National de Région (CNR) de Lyon en 1972, puis étudie au CNSM de Paris avec Michel Philippot et Ivo Malec (composition instrumentale), Claude Ballif (analyse), Guy Reibel et Pierre Schaeffer (composition électroacoustique) de 1974 à 1979. Chercheur et membre de l’INA-GRM dès 1976, il enseigne comme assistant dans la classe d’électroacoustique du CNSM de Paris, puis il fonde en 1977 l’Ensemble TM+, pour lequel il a suscité la création d’un important corpus d’œuvres mixtes et « live electronic ». Il assiste en studio Pierre Schaeffer, Marcel Landowski, Guy Reibel et François Bayle, et participe à l’élaboration de l’Acousmographe, à la préparation de séminaires… Il intervient aussi dans l’élaboration du système SYTER pour lequel il compose la première œuvre pour instruments et transformation numérique en temps réel Ourlé du lac (1984) jouée lors de l’ICMC 1984 organisée à Paris par l’Ircam.

En 1980, il crée au CNR de Lyon une classe de composition acousmatique et instrumentale dont il est le professeur titulaire jusqu’en 1995. Il crée les concerts Acore en 1982, organisant un cycle régulier de manifestations chaque année. Cofondateur en 1984 du collectif de compositeurs Quark, il accueille, de 1989 à 1994, les Rencontres de Crest sur l’Art acousmatique. En 1993, il crée le festival Futura (festival international d’art acousmatique et des arts de support) à Crest (Drôme). En 1997 il lance Motus, structure d’organisation de concerts et d’événements (Odysson, Acousma-rave, etc.), de gestion du plus important dispositif privé de projection du son, et de réalisation d’un label discographique dédié à la musique contemporaine (acousmatique et instrumentale). En 2004,  il fonde l’ensemble Syntax formé avec cinq enseignants du CNR Perpignan-Méditerranée et qui compte un acousmonium dans son effectif. En 2017, il co-fonde le duo HD, qui réalise des actions allant de la performance à l’événement conceptuel.

En 1995, il prend la responsabilité de la classe de composition du conservatoire de Perpignan où il programme une saison régulière de six concerts par an. À partir de 1997, il organise à l’INA-GRM les Empreintes, série annuelle de conférences de compositeurs, ainsi que L’Atelier destiné à favoriser les échanges entre le GRM et le milieu musical, et il réalise une base de donnée informatisée pour la gestion des œuvres et des documents de l’Acousmathèque. Il quitte le groupe en 2000. 

En 2002, il fonde le premier cours d’été d’interprétation acousmatique à Crest ; celui-ci réunit chaque année une douzaine de stagiaires du monde entier pendant plus d’une semaine. En 2007, il crée et devient le professeur titulaire d’une classe de composition électroacoustique et création sonore au Conservatoire à Rayonnement Régional de Paris. Deux ans plus tard, il est professeur de création musicale en composition électroacoustique au Pôle supérieur d’enseignement artistique Paris Boulogne-Billancourt.

Compositeur depuis 1976, il est l’auteur de nombreuses œuvres instrumentales (orchestrales, de chambre, vocales) et électroacoustiques où il joue, dans la fluidité d’un phrasé baroque, de la mobilité des figures, de l’exploration des morphologies nouvelles (issues du travail du support), des couleurs et des articulations, dans un style aux accents et au lyrisme affirmés. Dans ses dernières œuvres acousmatiques, il réintroduit la voix humaine, ses effets dramatiques et narratifs, dans l’univers très formel de la musique de support dont il fait le lieu d’une nouvelle théâtralité. Denis Dufour fait partie des quelques compositeurs français qui œuvrent avec la même envie dans ces deux univers (instrumental et acousmatique) pour lesquels il crée des œuvres d’une égale maturité stylistique et d’une ferveur rigoureuse et iconoclaste.

Denis Dufour est le défenseur d’un concept de spatialisation interprétée des œuvres sonores sur un acousmonium, ou orchestre de haut-parleurs ; il compose pour ce dispositif de très nombreuses pièces, parmi lesquelles Bocalises, grande suite (1978), Entre dames (1982), Messe à l’usage des vieillards (1987), Les Joueurs de sons (1999), La Nuit du Dibdak (2000), Caravaggio (2000), ou encore Volver (2012).

En 2009, il reçoit le Prix de la meilleure composition électroacoustique, délivré par la Sacem, pour PH 27-80 (2008).

Depuis 2013, il est édité par Maison Ona pour les œuvres instrumentales et mixtes.


© Ircam-Centre Pompidou, 2007

Par Vincent Isnard

L’œuvre de Denis Dufour (né en 1953) est celle de toute une vie, si ce n’est plus, car c’est aussi celle d’influences esthétiques, d’oppositions idéologiques, de collaborations, de filiations, d’amitiés… Entreprendre sa description exhaustive nécessiterait donc de saisir toutes ces trajectoires déterminantes pour le compositeur. Entamée dans les années 1970 auprès de Pierre Schaeffer (1910-1995) et Ivo Malec (1925-2019), saisissant et prolongeant les nombreuses évolutions stylistiques et technologiques déjà bien éprouvées depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, elle a conduit à ce jour à près de 200 opus d’une grande richesse sonore et compositionnelle1. Dans les domaines tant acousmatique qu’instrumental, mais aussi en musique mixte et en musique temps réel2, Denis Dufour a composé et défendu des œuvres de grande ampleur régulièrement saluées par la critique : de Bocalises, petite suite (1977 ; premier prix au concours international de composition Luigi Russolo) à PH 27-80 (2008 ; prix SACEM de la “meilleure composition électroacoustiqueˮ) ; Ourlé du lac (1984), pour violon, synthétiseur et transformations numériques en temps réel, l’une des toutes premières œuvres du genre avec le dispositif Syter du GRM, créée à l’Ircam ; ou encore Chanson pensive (1990), œuvre instrumentale créée par l’ensemble 2E2M. Il faudrait en outre mentionner de multiples actions de diffusion et de transmission, où elle transparaît encore, pour avoir une image plus complète de l’activité de ce créateur infatigable : que ce soit en tant que membre du Groupe de recherches musicales (GRM) de 1976 à 2000, membre fondateur du Trio GRM en 1977 (devenu ensuite l’Ensemble TM+), professeur de composition aux conservatoires de Lyon, où il crée la classe en 1980, Perpignan, qu’il rejoint en 1995, et Paris dont il crée également la classe en 2007, et où il aura formé plus de 250 élèves3, fondateur dans les années 1990 de la compagnie musicale Motus4 et du festival Futura5… Il reste néanmoins possible d’en extraire quelques dimensions principales, et l’on retiendra ici les trois suivantes : celle de sa proximité constante avec le monde environnant – la facture compositionnelle de Denis Dufour se rapprochant d’une forme d’artisanat développé dès l’enfance ; puis, à sa maturité, celle de son inscription au sein d’une histoire musicale tiraillée entre diverses références esthétiques parfois incompatibles, comme pour recréer du lien entre celles-ci ; enfin, celle d’une volonté de pérennisation de l’art compositionnel du XXe siècle, notamment par son inscription dans la société, incitant chacun à cultiver les parcelles artistiques qui nous entourent.

L’artisanat spontané de Denis Dufour

La distinction classique entre art et artisanat est remise en question chez Denis Dufour, qui a grandi au contact de la nature et a su en tirer des outils adaptés à la matière artistique brute. De son enfance et de sa jeunesse, en matière d’art, ce n’est d’ailleurs pas la musique qui lui vient à l’esprit en premier lieu, à laquelle il est venu sur le tard : « Je sculptais du bois, je réalisais des émaux sur des plaques de cuivre. J’avais acquis une caméra Super 8 et je filmais »6… Construire, façonner, inventer, lui permettent de révéler une proximité avec le monde environnant et d’en discerner les contours artistiques latents. En jeune esthète averti, il en tire l’assurance de pouvoir se confronter à l’art en autodidacte. La musique, néanmoins, dans laquelle il s’est lancé à l’adolescence comme par défi, lui résiste davantage, et lui laisse ainsi soupçonner sa riche expressivité. C’est ainsi qu’à l’âge de 19 ans il se consacrera totalement à l’étude des disciplines du cursus classique enseignées alors au conservatoire de Lyon : solfège, alto, harmonie, contrepoint, analyse, esthétique et histoire de l’art, avec un seul objectif en tête, devenir compositeur.
« Électroacoustique » : en faisant répéter le mot à Ivo Malec, qui le reçoit en entrevue à son domicile parisien, Denis Dufour comprend subitement que la musique d’aujourd’hui ne se limite plus à la théorie et à la technique instrumentale abordées jusqu’alors, mais qu’elle recèle un potentiel créatif immense et inexploré. Dès lors, admis au Conservatoire National Supérieur de Musique (CNSM) de Paris au sein de la classe de composition électroacoustique de Pierre Schaeffer en 19747, puis dans celle de composition instrumentale de Ivo Malec deux ans plus tard, il se jettera dans cette exploration pour la poursuivre inlassablement depuis. Se révèlera à lui un monde-miroir dans lequel projeter la réalité pour apprendre à mieux reconnaître les émotions et les affects qu’elle suscite, et par suite mieux les porter dans ses propres propositions artistiques. Ainsi, et sans le réduire à l’abstraction des notes ou des systèmes, l’art compositionnel représente pour Denis Dufour un moyen de saisir une part de la complexité du monde sonore pour déployer au mieux les qualités humaines sensibles. Pour y parvenir, cette conception de l’art musical appréhende simultanément, par l’expérimentation et la pratique, l’objet artistique et la matière dans laquelle il est fondu. C’est pourquoi Denis Dufour privilégie cette sorte d’artisanat musical, autrement dit un ensemble de techniques qui s’appliquent à l’objet en y revenant autant que nécessaire (par exemple à travers des essais instrumentaux ou des prises de sons), pour à la fois affiner et partager avec autrui aussi bien l’objet que les techniques, parfois au cours même de sa conception, et vérifier enfin la résistance de la proposition musicale à l’intention artistique initiale8. Au total, cette méthode résulte de la fusion, d’une part, des enseignements de la musique concrète et de la démarche expérimentale telle que formulée par Pierre Schaeffer, s’appuyant sur les nouvelles technologies sonores du XXe siècle pour repousser les frontières de la perception humaine artistique et de leur compréhension ; et, d’autre part, de ceux de Ivo Malec insistant sur l’importance de « la cohérence esthétique et les qualités fonctionnelles de la partition, sa viabilité, sa jouabilité ».
De sa réalisation à sa réception, l’œuvre est donc toujours prise dans la réalité de la perception et ne saurait se réduire aux systèmes théoriques. Cette conception presque naturaliste de la musique rend sa démarche accessible même à l’auditeur novice en matière de création artistique. L’ensemble de l’œuvre de Denis Dufour est ainsi traversée de propositions réverbérant un rapport personnel aux individus et à leurs rites (Messe à l’usage des enfants, Messe à l’usage des vieillards, La douceur a des cils, En effeuillant la marguerite), aux troubles psychologiques (le cycle Le Livre des désordres, Notre besoin de consolation est impossible à rassasier, Litanie pour les vierges), aux objets du quotidien et aux activités humaines (Bocalises, Altitude, Cinq formes d’appel, Hentai), aux animaux (Cycle des Marais, In-quarto, La Nuit de Dibdak), aux environnements urbains (Entre dames, Les Cris de Tatibagan), aux plantes (Dionaea, Amor Niger L., Symphonie des simples), aux paysages (Terra incognita, Nautilus, Avalanche) ou à la nature (La terre est ronde, Le Mystère des tornades, Tapovan)… Par cet artisanat compositionnel, Denis Dufour rapproche le monde environnant de l’auditeur, comme pour mieux suggérer les sonorités de nos mondes intérieurs. Inversement, ce monde-miroir musical et onirique, même s’il pourrait suffire en lui-même comme finalité artistique, offre aussi une manière de « rouvrir l’oreille musicale » sur ce qui est proche de nous et potentiellement artistique, comme pour mieux appréhender le réel et rappeler les circonstances d’une perception artistique.
Mais c’est aussi cette proximité avec la réalité qui permet à l’artisan-compositeur de s’en démarquer expressément dans d’autres œuvres. En effet, après avoir façonné un environnement sonore et musical où les enchaînements et les articulations s’arrangent selon des règles d’une plausibilité quasi-naturelle pourrait-on dire – cette « esthétique du pourquoi pas » selon l’expression de Jean-Christophe Thomas –, Denis Dufour déploie à partir des années 1990 de nouvelles règles d’un ordre surnaturel (ou quasi-surnaturel), avec des contrastes similaires à ceux provoqués par les registres du fantastique, de la mythologie ou du conte. Ce sont notamment les univers de Tom et la Licorne (1991), Archéoptéryx (1992), Allégorie (1995) ou Blue Rocket on a Rocky Shore (2013). En effet, selon Denis Dufour, la musique doit nourrir le psychisme, et ses traits évocateurs ont le pouvoir d’alterner entre une narration tantôt réaliste, tantôt fantastique, pour finalement rappeler que les préoccupations, les interrogations ou les contemplations que l’on éprouve dans la réalité tendent aussi parfois vers certaines formes d’étonnement, de stupéfaction ou d’étrangeté. Son œuvre permet ainsi de réaffirmer l’ambition d’une perception large et ouverte à toute proposition sonore, même quand les références narratives se troublent et se dissipent, pour laisser en définitive toute l’initiative à l’auditeur pour construire sa propre trajectoire.

Des références musicales à la fois anciennes et contemporaines

Certes, malgré la distance qu’il prend parfois avec la tradition musicale savante, Denis Dufour aime rappeler sa proximité esthétique avec Jean-Philippe Rameau, par « des mouvements, des phrases, des figures qui s’élancent, des motifs que l’on peut mémoriser », tout autant que « dans les nuances et les équilibres », et dont la maîtrise doit passer par la « précision » de l’écriture. Car il s’agit pour lui de perpétuer ces préoccupations formelles anciennes sur le fonctionnement des articulations pertinentes à l’écoute, sur les manières de les expliquer et de les systématiser, c’est-à-dire de les théoriser à partir de l’expérience. De plus, si Denis Dufour a souvent fait explicitement référence à l’œuvre de Rameau, comme dans sa pièce instrumentale Cinq formes d’appel (2013) dont le cinquième mouvement est une transcription revisitée du Rappel des oiseaux, il a aussi souligné des « correspondances » de musicalités plus diffuses entre la musique contemporaine et la musique d’époques antérieures, par exemple entre « la Comptine des Variations pour une porte et un soupir de Pierre Henry et la Sarabande de la Suite n°5 pour violoncelle de Jean-Sébastien Bach ». Dans les propres œuvres de Denis Dufour, on trouve des réemplois explicites de formes anciennes, telles ses deux messes, « des œuvres qui reprennent la structure d’une messe catholique ordinaire : Kyrie, Gloria, Credo, Agnus dei et Sanctus » ; ou dans un tout autre registre ses Variations acousmatiques (2011), qui poussent leur logique jusqu’à l’extrême par la succession du thème suivi de onze variations, tous d’une durée de 66 secondes, avec des procédés d’imitations classiques de mélodies instrumentales (rétrograde, transposition, etc.), ici appliqués à des sons enregistrés. De sorte que, selon lui, la musique contemporaine n’est jamais complètement coupée de certains repères perceptifs fondamentaux, supports des cohérences internes aux œuvres, et toujours questionnés si ce n’est réemployés, y compris dans les propositions les plus radicales des compositeurs d’aujourd’hui : « les ressorts de la musique sont souvent les mêmes, quelles que soient les époques, les pratiques et la technologie ».
Reste qu’à maints égards, son œuvre est véritablement ancrée dans l’actualité de notre époque, en particulier vis-à-vis des avancées théoriques et pratiques qui constituent une rupture inévitable pour toute une génération de compositeurs. Le bouleversement le plus brutal, profond et irréversible étant certainement celui de la technique, la même qui engendra le chaos de deux guerres mondiales et la crise de la musique tonale. La technique du son fut accueillie tantôt avec scepticisme, radicalité ou opportunisme en fonction des profils des compositeurs et de l’évolution de leurs intentions artistiques. Pour sa part, en alliant la technique à sa pensée d’artisanat musical, Denis Dufour tend inévitablement à circonscrire les sonorités de ses œuvres avec des marqueurs caractéristiques de cette période de transition. D’abord suivant les matériaux employés (sources sonores de toutes sortes et nouvelles techniques de jeux), des sons encore parfois inouïs au départ mais dont l’exploration seule ne suffira pas à nourrir le langage musical, au point qu’aujourd’hui « il n’y a plus un seul son qui étonne qui que ce soit ». Ensuite, les outils expérimentés et développés par le compositeur sont ceux de son temps et de ses contemporains : le son acoustique et analogique, la bande magnétique et les synthétiseurs9. Cependant, même avec l’arrivée du numérique, l’essentiel du travail compositionnel de Denis Dufour est resté focalisé sur la source sonore plutôt que sur les transformations trop systématiques de « plugins » comparés à de la « sauce tomate industrielle ». Ne se limitant pas non plus aux découvertes ou aux innovations des ingénieurs-compositeurs10, sans pour autant rentrer dans une logique d’« effets sonores », ne se refusant pas moins « des accords parfaits dans [ses] œuvres tant instrumentales qu’acousmatiques » ou d’autres « possibilités » mélodiques, harmoniques ou rythmiques traditionnelles, le compositeur cherche avant tout à tirer toute la richesse de son matériau, aussi simple et familier soit-il (comme de simples bocaux pour ses Bocalises, par exemple). Une fois sa palette sonore patiemment collectée et constituée, le travail d’écriture consiste à réassembler dans un puzzle temporel les pièces qui s’imbriquent spontanément les unes dans les autres dans une grande fresque pleine de contrastes et de lyrisme11.
À noter que Denis Dufour ne se ferme pas pour autant aux systèmes ou aux calculs plus ou moins arbitraires ou conceptuels, aussi bien pour la structure que pour l’écriture de profils mélodiques, rythmiques, dynamiques, etc., comme une manière de stimuler l’imagination, bien que, mentionne-t-il : « en dernier ressort c’est toujours par des critères de perception que je vérifie la pertinence d’une partition ». En définitive, sa musique ne s’écrit pas dans l’abstrait, ex nihilo, mais relève plutôt d’un réassemblage d’un monde sonore qui, riche de ses évènements et propriétés organiques, aurait pu (aurait dû ?) être. La musique qui en résulte révèle une proximité avec l’auditeur contemporain : spatialement, d’après sa familiarité et son accessibilité ; et temporellement, parmi les évolutions musicales contemporaines, tout en visant le dépassement de l’emprise de la technique sur celles-ci, en veillant à rester focalisé sur les principes originels de la musique, en particulier « une originalité, un son, une forme reconnaissables ».

La transmission et la diffusion comme implications sociétales

Au-delà de la technique, l’école schaefferienne, dont est issu Denis Dufour, fut marquée par des partenariats nombreux et transversaux entre les arts, avec différents groupes de recherches conduits au Service de la recherche12, en parallèle du GRM, ainsi que la production d’œuvres collaboratives et emblématiques, comme La Symphonie pour un homme seul (1950) de Pierre Schaeffer et Pierre Henry, accompagnée du ballet éponyme de Maurice Béjart. Denis Dufour a lui-même été « l’assistant au GRM de François Bayle, de Guy Reibel et de Marcel Landowski ». Et l’on perçoit, à travers son œuvre, la forte estime de toute une génération pour le père de la musique concrète/acousmatique : comme il avait transcrit la musique de Rameau, c’est tout un cycle hommage qu’il a consacré à celle de Pierre Schaeffer (Souvenir de Pierre, Stèle pour Pierre Schaeffer, etc.). De plus, Denis Dufour revendique cet esprit collaboratif, que ce soit dans le cadre d’actions pédagogiques sur les musiques d’aujourd’hui, pour fédérer les arts de supports (comme le projet initial du festival Futura d’associer musique acousmatique, cinéma, photographie, peinture, sculpture), ou travailler conjointement sur les œuvres. On repère notamment des affinités dans ses interactions avec ses collaborateurs, principalement Thomas Brando pour la production de sons, le mixage, l’écriture de textes scénaristiques pour Hérisson-cathédrale (1990), Chanson pensive (1990), Avalanche (1995), etc., ou de textes poétiques lus dans Les Invasions fantômes (2011) ou chantés dans Cinq miniatures pour Barbe Bleue (1998), Post mortem (et puis paf !) (2012), etc., ainsi que des collaborations plus ponctuelles, comme avec Agnès Poisson pour Les Joueurs de sons (1999) ou Pierre Henry pour Chanson de la plus haute tour (2000). Pour Voix-off (2005), entre le texte, les prises de sons, certaines transformations, etc., jusqu’à quatorze artistes de tous horizons (dont certains de ses étudiants du conservatoire de Perpignan) ont participé à l’élaboration de l’œuvre avec chacun leurs compétences, comme une manière de suivre la trajectoire des évolutions techniques sans se laisser happer hors du champ compositionnel, tout en faisant la promotion de nouveaux acteurs prometteurs de la scène contemporaine.
Plus généralement, la composition représente pour Denis Dufour un véritable engagement sociétal. En particulier, le rapport au monde établi grâce à la musique doit pouvoir appuyer des revendications liées aux traditions et aux habitus culturels. Tandis que « la musique s’est libérée progressivement des aspects fonctionnels, en même temps que les compositeurs se libéraient de leurs maîtres », le « jeu social » n’est lui pas près de disparaître, notamment « cette religion du concert ». Il s’agit donc d’abord évidemment de défendre la place de la musique contemporaine dans le monde artistique actuel, en tenant compte des forces musicales en présence comme des préoccupations sociétales qu’elles peuvent représenter. Denis Dufour a ainsi été le spectateur de nombreux conflits idéologiques, mais aussi d’ordre institutionnels, y compris au sein même du GRM. On pense bien sûr principalement à l’opposition entre le modèle de la musique concrète/acousmatique, travaillée en studio et défendue par Pierre Schaeffer, et celui de la musique temps réel de Pierre Boulez. Les enjeux culturels sous-jacents peuvent se révéler considérablement éloignés, entre d’une part l’interprétation sur acousmonium (ensemble spécialisé de haut-parleurs diversifiés) d’une œuvre fixée sur support audio stéréophonique, et d’autre part des développements technologiques dont la mise en œuvre est plus coûteuse en termes d’équipes et d’équipements. Denis Dufour privilégie une adaptabilité des techniques artistiques, la transmission d’un savoir-faire par la pratique et jusque dans les milieux éloignés des pôles de diffusion du monde artistique institutionnel. En somme, diffuser au plus grand nombre – soit ni plus ni moins que l’objectif de la Radio dont fut issue la musique concrète et électroacoustique dès sa création. D’ailleurs, force est de constater qu’aujourd’hui, « le travail du son façon musique concrète se retrouve un peu partout, aussi bien dans la variété internationale, la pop, la techno que dans la publicité et le cinéma, où le design sonore a pris une part importante ». Néanmoins, bien qu’adepte de cette école, notons que Denis Dufour n’a cessé de promouvoir le dialogue entre les musiques d’aujourd’hui, par exemple dans l’alternance instrumentale et acousmatique dans Le Mystère des tornades (1999) ; la création de Piano dans le ciel (2001), œuvre acousmatique, a même été conçue pour alterner cette fois avec des pièces pour piano de compositeurs contemporains, dont Boulez, Amy, Lindberg, etc., comme une volonté de rassemblement. Confirmant cette intuition de Denis Dufour sur les moyens compositionnels et leur portée, on observe aujourd’hui chez la jeune génération de compositeurs cette aisance pour s’adapter aux circonstances du propos musical, et ce, quelles que soient les filiations esthétiques.

Comprendre l’art sous l’angle de l’artisanat permet à Denis Dufour de jouer de sa minutie et de sa persévérance pour entreprendre des œuvres sans apprêt. Composer devient pour lui une façon d’aborder le monde avec un regard neuf, dépouillé de la partialité des théories musicales, en privilégiant au contraire la « vérification par la perception », une attitude qui se veut proche de celle des auditeurs en concert, qu’ils soient avertis ou non en matière de création musicale. Offrir cette proximité, c’est offrir la liberté d’aller et venir à travers l’œuvre, de s’y plonger, d’y faire des détours, de prendre le temps de l’écoute. Cette nouvelle tournure de l’exploration musicale, permise notamment par les innovations des techniques des XXe et XXIe siècle, ne s’y réduit toutefois pas. Tout au plus influencent-elles l’œuvre en creux seulement, Denis Dufour adaptant constamment ses pratiques afin de restreindre l’outil au seul moyen de construire des ponts avec la perception et de l’effacer au profit de nouvelles perspectives artistiques et musicales. Le compositeur tend ainsi à délivrer son propos musical dans l’immédiateté de l’écoute, autrement dit à composer l’écoute, aussi détachée que possible des moyens de production qu’ils soient instrumentaux ou liés aux techniques de captation sonore. Par suite, les évolutions de son style se discerneront au niveau de celles de ses préoccupations humaines comme celles de ses contemporains, d’expériences et de rencontres, laissant émerger des sujets compositionnels intemporels. Avec cette conscience des enjeux esthétiques, techniques et sociétaux, la musique de Denis Dufour réfléchit et diffracte celle de toute une époque particulièrement foisonnante en registres sonores. Ainsi, son œuvre est de celles qui aident à se recentrer sur les qualités et les nécessités fondamentales de la production musicale contemporaine qui, dépassant les normes esthétiques en vigueur et les contraintes techniques et institutionnelles, doivent bien plutôt impliquer des développements sociétaux, à commencer par la transmission d’un savoir-faire comme d’un savoir-être artistiques, à la fois indépendants, exigeants et généreux.


1. Toutes les œuvres de Denis Dufour sont éditées par Maison ONA. Par ailleurs, certaines de ses œuvres instrumentales ont été publiées sur disque par les labels Motus et Kairos, tandis que l’intégrale de l’œuvre acousmatique est publiée à partir de 2021 par le label Kairos. Le premier coffret Complete Acousmatic Works Vol. 1, qui comptabilise plus de 17 heures de musique, a reçu le Grand Prix international du disque de l’Académie Charles Cros. Le catalogue complet est disponible sur le site du compositeur : https://www.denisdufour.fr/ (lien vérifié le 15/01/2023).
2. Pour Denis Dufour, bien que ces courants combinent tous deux un son instrumental à un son diffusé sur haut-parleur, ils restent très distincts : « mixte » renvoyant à une partie fixée sur support qui, après avoir été travaillée en studio, est projetée sur haut-parleurs simultanément au jeu instrumental ; alors que le « temps réel » fait référence aux dispositifs permettant des transformations quasi-instantanées du son instrumental. Les deux terminologies ont cependant tendance à être confondues dans l’usage courant, parmi plusieurs autres courants de la musique électroacoustique, bien que les processus créatifs diffèrent. Voir aussi à ce sujet la postface de François-Xavier Féron, in Entretiens avec Denis Dufour. La composition de l’écoute, Editions MF, 2021.
3. Parmi ses élèves, on peut citer notamment : Carole Rieussec, (1953), Philippe Le Goff (1957), Franco Degrassi (1958), Jean-Marc Duchenne (1959), Franck Yeznikian (1969), Jonathan Prager (1972), Lautaro Vieyra (1973), Tomonari Higaki (1974), Vincent Laubeuf (1974), Bérangère Maximin (1976), Armando Balice (1985), Paul Ramage (1986), Maxime Barthélémy (1989).
4. Compagnie musicale créée en 1996 pour la promotion et la diffusion de la musique contemporaine.
5. Festival international d’art acousmatique créé en 1993.
6. Sauf mention contraire, toutes les citations sont extraites des entretiens que nous avons réalisés avec le compositeur et qui ont été publiés en livre : Vincent Isnard, Entretiens avec Denis Dufour, op. cit.
7. Cette classe, ouverte de 1968 à 1980 par le CNSM et le GRM, était intitulée à l’origine « Musique fondamentale et appliquée à l’audiovisuel ».
8. La présentation par le compositeur de L’Écriture acousmatique rend compte de sa manière de travailler les sons, les articulations, les enchaînements, les phrasés, etc. : https://webmedia.inagrm.com/2015/dufour/co/Ecriture_acousmatique_D_Dufour.html#S3hkGeEuEKjwFBQ8Chhfg (lien vérifié le 15/01/2023).
9. En particulier avec le Trio GRM qui était à l’origine un trio expérimental de synthétiseurs, et pour lequel Denis Dufour a spécialement composé des pièces dès 1978, comme Souvenir de Pierre, pour deux synthétiseurs et piano préparé.
10. Pierre Schaeffer (1910-1995) est polytechnicien, Iannis Xenakis (1922-2001) est ingénieur et architecte, Jean-Claude Risset (1938-2016) est normalien et agrégé de physique, etc.
11. Voir par exemple la présentation de l’œuvre acousmatique Nautilus par le compositeur : https://webmedia.inagrm.com/2016/nautilus/hd/co/D_Dufour_Nautilus_youTube.html#BE298eeKz3hVpL676EBjag (lien vérifié le 15/01/2023). Le travail sur les articulations, qui vient compléter celui sur les sons, se veut tout aussi minutieux, à l’opposé du systématisme des « musiques à explosions » qui « utilisent les deux enchaînements standards que sont la tension-explosion et la tenue-rupture » pour « séduire » et « occuper le terrain », selon le compositeur.
12. Le Service de la recherche, ouvert de 1960 à 1974 au sein de la Radio, a été fondé et dirigé par Pierre Schaeffer, et s’est constitué de plusieurs groupes de recherche dont, en plus du GRM, le Groupe de Recherches Technologiques, le Groupe de Recherche Image, etc.

© Ircam-Centre Pompidou, 2023

  • Musique soliste (sauf voix)
  • Musique de chambre
    • Le crin s'ébruite pour alto et percussion (1977), 15 mn, Maison ONA
    • Souvenir de Pierre pour trois instruments ou plus (1978), 5 mn, Opus 53
    • élec Trio pour violon, mandoline, synthétiseur et dispositif de transformation en temps-réel (1978), 14 mn, Opus 53
    • Velours des dunes pour instrument à cordes et synthétiseur (1978), 11 mn, Opus 53
    • élec Cueillir à l'arbre un petit garçon pour saxophone, synthétiseur et dispositif de transformation en temps-réel (1979), 14 mn, Opus 53
    • élec Un petit qui t'aime pour six percussions et support audio (1979), 15 mn 30 s, Opus 53
    • J.a.ch.H.16 pour trois synthétiseurs (1980), 18 mn 45 s, Opus 53
    • Dune pour deux flûtes (1981), 8 mn 30 s, Maison ONA
    • Rêve lisse pour violon et deux synthétiseurs (1982), 12 mn, Maison ONA
    • élec Dix portraits pour trois synthétiseurs et support audio (1984), 40 mn, Opus 53
    • élec Ourlé du lac pour violon, synthétiseur et dispositif de transformation en temps-réel (1984), 14 mn, Opus 53
    • Fantaisie soluble pour clarinette, cor, percussion, violon, violoncelle et deux synthétiseurs (1985), 14 mn, Opus 53
    • Froncement des yeux pour violon, violoncelle et synthétiseur (1985), 15 mn, Opus 53
    • Le Pistolet d'or pour deux violons, deux altos et deux violoncelles (1985), 23 mn, Opus 53
    • Tandem oblique pour flûte et piano (1986), 12 mn, Opus 53
    • Moirures éteintes de la galaxie pour clarinette, cor, percussion, violon, violoncelle et deux synthétiseurs (1988), 20 mn, Opus 53
    • Duel pour deux trompettes (1990), 4 mn, Maison ONA
    • Hérisson cathédrale pour flûte, clarinette, violon, violoncelle, piano, célesta et clavecin (1990), 19 mn, Opus 53
    • Interruption pour flûte, synthétiseur, violon, alto, violoncelle et comédien (1991), 10 mn, Opus 53
    • Salamandre pour flûte, hautbois, clarinette, harpe, violon et violoncelle (1992), 7 mn 30 s, Opus 53
    • Souvenir de craie pour flûte, hautbois, clarinette, saxophone, trombone, accordéon et piano à quatre mains (1992), 4 mn, Opus 53
    • Excusez-moi, je meurs pour piano, percussion et violoncelle (1996), 6 mn 30 s, Opus 53
    • Trois transcriptions d’après Rameau pour flûte, hautbois, clarinette, harpe, piano, violon, alto et violoncelle (1996), 14 mn, Opus 53
    • Lachrymae pour six violes (1998), 25 mn, Opus 53
    • élec Le Mystère des tornades pour hautbois, harpe, alto, violoncelle et support audio (1999), 25 mn 30 s, Opus 53
    • élec L'Heure exacte pour clarinette, saxophone, trombone, piano et support audio (2002), 13 mn, Opus 53
    • Silex pour flûte, clarinette, violon, alto et violoncelle (2003), 13 mn, Opus 53
    • élec Deux rainettes vertes pour deux guitares et support audio (2004), 10 mn 10 s, Maison ONA
    • Secret plié en seize dans le coffre de hune pour guitare, violon, alto et violoncelle (2004), 5 mn, Opus 53
    • Oriflamme pour saxophone et percussion (2005), 12 mn, Maison ONA
    • élec Salves pour flûte, saxophone, percussion, piano et support audio (2005), 35 mn, Opus 53
    • Spiritus Stella pour deux basses de viole (2007), 10 mn, Maison ONA
    • élec Acid Folk pour clarinette, violoncelle et support audio (2008), 42 mn, Opus 53
    • élec Face aux ténèbres pour saxophone alto, percussion, piano et support audio (2009), 10 mn 30 s, Maison ONA
    • élec La Chasse à l'ombilic pour récitant, violon, alto, violoncelle et support audio (2009), 11 mn 6 s, Opus 53
    • Poursuite pour violon et violoncelle (2011), 10 mn, Maison ONA
    • Cinq formes d'appel pour clarinette basse et trompette en si bémol (2013), 9 mn, Maison ONA
    • Dernier quatuor pour deux violons, alto et violoncelle (2013), 15 mn, Maison ONA
    • élec Quatuor “les héros anonymes” pour flûte, hautbois, alto, contrebasse et support audio (2013), 10 mn 43 s, Maison ONA
    • Stèle pour Pierre Schaeffer pour flûte, clarinette basse, saxophone alto, trompette et violoncelle (2013), 5 mn, Maison ONA
    • Fluorescence pour quatre flûtes (2014), 13 mn, Maison ONA
    • élec Les Fleurs enchantées pour trois flûtes et support audio (2014), 12 mn, Maison ONA
    • élec Chambre 44 pour flûte, saxophone alto, percussion, piano et support audio (2015), 10 mn 30 s, Maison ONA
    • Sprint pour flûte, percussion, violon, violoncelle et contrebasse (2015), 12 mn, Maison ONA
    • In-quarto pour deux violons, alto et violoncelle (2016), 21 mn, Maison ONA
  • Musique instrumentale d'ensemble
    • élec La Galerie pour trois corps sonores, trois synthétiseurs et support audio (1980), 46 mn 30 s, Opus 53
    • Nuit d'hiver pour hautbois, clarinette, cor, trombone, glockenspiel, harpe et deux violoncelles (1987), 14 mn, Opus 53
    • Nuit d'hiver pour hautbois, clarinette, cor, trombone, glockenspiel, harpe, deux violoncelles et récitant (1987), 14 mn, Opus 53
    • élec Chanson pensive pour flûte, flûte en sol, clarinette, cor de basset, clarinette basse, alto et échantillonneur (1990), 20 mn, Opus 53
    • élec Le Labyrinthe de l'amour /2 pour ensemble de jazz et support audio (1990), 21 mn, Opus 53
    • Archéoptéryx pour flûte, hautbois, clarinette, saxophone, trombone, accordéon et piano à quatre mains (1992), 13 mn, Opus 53
    • Ataraxie pour deux quatuors de flûtes à bec et ensemble de flûtes à bec (1992), 12 mn, Opus 53
    • Orange-Cité pour flûte, clarinette, percussion, piano, violon, alto, violoncelle et contrebasse (1998), 8 mn 30 s, Opus 53
    • Mille soleils pour orchestre d'harmonie (2002), 18 mn, Opus 53
    • Sphère pour orchestre symphonique (2003), 6 mn 30 s, Opus 53
    • Flamme pour orchestre symphonique (2008), 3 mn 30 s, Opus 53
    • Gaillarde pour ensemble de flûtes à bec (2009), 6 mn 30 s, Opus 53
  • Musique concertante
    • Concerto pour violon et orchestre symphonique (1977), 18 mn, Opus 53
  • Musique vocale et instrument(s)
    • En sursaut pour soprano et violon alto (1977), 10 mn, Opus 53
    • élec Je voulais parler des oiseaux pour soprano, guitare à dix cordes et support audio (1979), 40 mn, Opus 53
    • Six mélodies pour soprano et piano (1983), 11 mn, Opus 53
    • Quatuor “Non parmi les anges” pour soprano, violon, alto et violoncelle (1984), 5 mn 10 s, Opus 53
    • L’Homme au masque de craie pour mezzo-soprano et orchestre symphonique (1988), 20 mn, Opus 53
    • Jeu délicieux pour ténor et violon alto (1989), 11 mn, Opus 53
    • Tu sa' ch'i' so pour soprano, clarinette, violon, alto et violoncelle (1989), 19 mn, Opus 53
    • élec Tom et la Licorne pour voix solistes, quintette à vent, ensemble instrumental et support audio (1991), 1 h 30 mn, Opus 53
    • Torrents du miroir pour soprano, mezzo-soprano, contre-ténor, basse, flûte, saxophone, cor, trompette, trombone, violon et contrebasse (1991), 17 mn, Opus 53
    • Litanie pour les vierges pour deux chœurs d'enfants et douze cordes (1995), 17 mn, Opus 53
    • Cinq miniatures pour Barbe Bleue pour soprano, basse, flûte, clarinette, piano, violon, alto et violoncelle (1998), 12 mn, Opus 53
    • Confession pour soprano, flûte, percussion et violoncelle (2002), 6 mn, Opus 53
    • Dédale pour soprano, flûte, percussion et violoncelle (2002), 7 mn 10 s, Opus 53
    • Préhistoire pour soprano, flûte, percussion et violoncelle (2002), 5 mn 10 s, Opus 53
  • Musique vocale a cappella
  • Musique électronique / sur support / instruments mécaniques
    • élec Étude de composition musique de concert pour acousmonium (1976), 4 mn 46 s, Opus 53
    • élec Bocalises, petite suite musique de concert pour acousmonium (1977), 19 mn 2 s, Opus 53
    • élec Bocalises, grande suite musique de concert pour acousmonium (1978), 36 mn 43 s, Opus 53
    • élec Rond de jambe musique de concert pour acousmonium (1979), 8 mn 5 s, Opus 53
    • élec L'Apocalypse d'Angers (version acousmatique) musique de concert pour acousmonium (1980), 50 mn 30 s, Opus 53
    • élec Suite en trois mouvements musique de concert pour acousmonium (1981), 21 mn 13 s, Opus 53
    • élec Entre dames musique de concert pour acousmonium (1982), 19 mn 30 s, Opus 53
    • élec Colloque musique de concert pour acousmonium (1983), 15 mn 7 s, Opus 53
    • élec Le Lis vert musique de concert pour acousmonium (1983), 37 mn, Opus 53
    • élec Suite bleue musique de concert pour acousmonium (1983), 19 mn 20 s, Opus 53
    • élec Dix portraits (version acousmatique) musique de concert pour acousmonium (1984), 38 mn 20 s, Opus 53
    • élec Le Labyrinthe de l'amour /1 musique de concert pour acousmonium (1984), 3 mn 35 s, Opus 53
    • élec Deux cartes postales musique de concert pour acousmonium (1986), 8 mn 35 s, Opus 53
    • élec Messe à l'usage des enfants musique de concert pour acousmonium (1986), 30 mn 35 s, Opus 53
    • élec Psaume d'Adam musique de concert pour acousmonium (1986), 10 mn 45 s, Opus 53
    • élec Messe à l'usage des vieillards musique de concert pour acousmonium (1987), 32 mn 50 s, Opus 53
    • élec Musique à coudre musique de concert pour acousmonium (1987), 41 mn 30 s, Opus 53
    • élec Douze mélodies acousmatiques musique de concert pour acousmonium (1988), 25 mn 41 s, Opus 53
    • élec Noël toxique musique de concert pour acousmonium (1988), 3 mn 10 s, Opus 53
    • élec Cet été sur la plage (version acousmatique) musique de concert pour acousmonium (1989), 12 mn, Opus 53
    • élec Notre besoin de consolation est impossible à rassasier musique de concert pour acousmonium (1989), 1 h 7 mn 22 s, Opus 53
    • élec Charge maximale musique de concert pour acousmonium (1991), 31 mn 50 s, Opus 53
    • élec Légende musique de concert pour acousmonium (1991), 25 mn 45 s, Opus 53
    • élec Chrysalide musique de concert pour acousmonium (1993), 29 mn 5 s, Opus 53
    • élec Flèches musique de concert pour acousmonium (1993), 26 mn, Opus 53
    • élec Où est maintenant la forêt ? musique de concert pour acousmonium (1993), 26 mn 28 s, Opus 53
    • élec Offrande ou l’être achevé musique de concert pour acousmonium (1994), 17 mn, Opus 53
    • élec Allégorie musique de concert pour acousmonium (1995), 1 h 9 mn 30 s, Opus 53
    • élec Exil musique de concert pour acousmonium (1995), 12 mn 39 s, Opus 53
    • élec Golgotha musique de concert pour acousmonium (1995), 26 mn 50 s, Opus 53
    • élec Hélice musique de concert pour acousmonium (1995), 11 mn 58 s, Opus 53
    • élec Bazar punaise musique de concert pour acousmonium (1996), 41 mn 26 s, Opus 53
    • élec Élixir musique de concert pour acousmonium (1996), 12 mn 34 s, Opus 53
    • élec Nuage de Pierre musique de concert pour acousmonium (1996), 5 mn 5 s, Opus 53
    • élec Une abeille et une perle musique de concert pour acousmonium (1996), 13 mn 22 s, Opus 53
    • élec Beethov’étonne musique de concert pour acousmonium (1997), 4 mn 20 s, Opus 53
    • élec Ebene Sieben musique de concert pour acousmonium (1997), 25 mn 40 s, Opus 53
    • élec Fanfare musique de concert pour acousmonium (1997), 6 mn 41 s, Opus 53
    • élec Le petit oiseau va sortir musique de concert pour acousmonium (1997), 14 mn, Opus 53
    • élec Lux tenebrae musique de concert pour acousmonium (1997), 22 mn 14 s, Opus 53
    • élec Terra incognita musique de concert pour acousmonium (1998), 25 mn 42 s, Opus 53
    • élec Les Joueurs de sons musique de concert pour acousmonium (1999), 1 h 12 mn, Opus 53
    • élec Caravaggio musique de concert pour acousmonium (2000), 10 mn, Opus 53
    • élec Chanson de la plus haute tour musique de concert pour acousmonium (2000), 1 h 12 mn, Opus 53
    • élec L'Aile de l'abeille musique de concert pour acousmonium (2000), 7 mn, Opus 53
    • élec La Nuit du Dibdak musique de concert pour acousmonium (2000), 6 mn 12 s, Opus 53
    • élec Organa musique de concert pour acousmonium (2000), 9 mn, Opus 53
    • élec Berechit musique de concert pour acousmonium (2001), 6 mn, Opus 53
    • élec La Malédiction des flammes musique de concert pour acousmonium (2001), 6 mn 11 s, Opus 53
    • élec Nautilus musique de concert pour acousmonium (2001), 7 mn 44 s, Opus 53
    • élec Panique au bord de l'eau musique de concert pour acousmonium (2001), 6 mn 5 s, Opus 53
    • élec Piano dans le ciel musique de concert pour acousmonium (2001), 37 mn, Opus 53
    • élec Spirale musique de concert pour acousmonium (2001), 18 mn 48 s, Opus 53
    • élec Géométrie mystique musique de concert pour acousmonium (2002), 4 mn 28 s, Opus 53
    • élec La terre est ronde musique de concert pour acousmonium (2002), 11 mn 5 s, Opus 53
    • élec L’Ivre d’avril musique de concert pour acousmonium (2002), 4 mn 10 s, Opus 53
    • élec La Tour des murmures musique de concert pour acousmonium (2003), 1 h 10 mn, Opus 53
    • élec Le Tango de l’oubli musique de concert pour acousmonium (2003), 4 mn 2 s, Opus 53
    • élec Sotto voce musique de concert pour acousmonium (2003), 15 mn 22 s, Opus 53
    • élec Voix off' musique de concert pour acousmonium (2005), 1 h 31 mn 2 s, Opus 53
    • élec Carosello musique de concert pour acousmonium (2007), 8 mn 14 s, Opus 53
    • élec Dionaea musique de concert pour acousmonium (2007), 10 mn 10 s, Opus 53
    • élec L'Esprit en étoile musique de concert pour acousmonium (2007), 14 mn 44 s, Opus 53
    • élec Augen Licht musique de concert pour acousmonium (2009), 25 mn, Opus 53
    • élec The Blob musique de concert pour acousmonium (2009), 10 mn 11 s, Opus 53
    • élec Ryoan-Ji (Le jardin de Pierre de Kyoto) musique de concert pour acousmonium (2010), 10 mn 19 s, Opus 53
    • élec Hentai musique de concert pour acousmonium (2011), 10 mn 32 s, Opus 53
    • élec Les Invasions fantômes musique de concert pour acousmonium (2011), 32 mn 50 s, Opus 53
    • élec Rivage de la soif musique de concert pour acousmonium (2011), 10 mn, Opus 53
    • élec The Wall musique de concert pour acousmonium (2011), 28 mn 40 s, Opus 53
    • élec Variations acousmatiques musique de concert pour acousmonium (2011), 14 mn 26 s, Opus 53
    • élec Selva musique de concert pour acousmonium (2012), 6 mn 40 s, Opus 53
    • élec Syntagma musique de concert pour acousmonium (2012), 13 mn, Opus 53
    • élec Volver musique de concert pour acousmonium (2012), 6 mn 30 s, Opus 53
    • élec Aristée et Eurydice musique de concert pour acousmonium (2013), 4 mn, Opus 53
    • élec Blue Rocket on a Rocky Shore musique de concert pour acousmonium (2013), 31 mn 31 s, Opus 53
    • élec In Paradisum musique de concert pour acousmonium (2013), 6 mn 49 s, Opus 53
    • élec Si tendre, si funeste musique de concert pour acousmonium (2014), 5 mn 17 s, Opus 53
    • élec Anamorphose musique de concert pour acousmonium (2016), 10 mn 10 s, Opus 53
    • élec Origine musique de concert pour acousmonium (2016), 17 mn 50 s, Opus 53
    • élec Tapovan musique de concert pour acousmonium (2016), 18 mn 18 s, Opus 53
    • élec Les Cris de Tatibagan musique de concert pour acousmonium (2017), 1 h 55 mn, Opus 53
    • élec BlindPoint musique de concert pour acousmonium (2018), 30 mn 30 s, Opus 53
    • élec Koley Bāzār musique de concert pour acousmonium (2019), 8 mn 8 s, Opus 53
    • élec Missa pro pueris musique de concert pour acousmonium (2019), 47 mn 47 s
    • élec Air musique de concert pour acousmonium (2020), 9 mn 9 s
    • élec Zwei kurze Stücke musique de concert pour acousmonium (2021), 14 mn 14 s
    • élec Symphonie des simples musique de concert pour acousmonium (2022), 55 mn 55 s
  • Effectif non spécifié
    • Objet-danse musique pour une chorégraphie de Dominique Dupuy, compagnie les Ballets Modernes de Paris (1977), 1 h 33 mn, Opus 53
    • Le Cercle dans tous ses états musique pour une chorégraphie de Dominique Dupuy, compagnie les Ballets Modernes de Paris (1979), 55 mn 30 s, Opus 53
    • Vendredi, jour de liberté musique pour la représentation de la pièce éponyme de Hugo Claus par le Théâtre du Lys (1983), 25 mn 15 s, Opus 53
    • scénique La Cour des immortels du désir musique pour une chorégraphie de Denis Psaltopoulos, compagnie Ozonekasouze (1985), 1 h 11 mn 5 s, Opus 53
    • scénique Exactement le contraire musique pour une chorégraphie de la compagnie Michel Hallet-Eghayan (1986), 1 h 9 mn, Opus 53
    • élec Mur musique pour une installation vidéo de Stéphan Barron (2010), 28 mn 40 s, Opus 53
    • élec Le Livre des désordres suite d’œuvres acousmatiques, instrumentales et mixtes (2007-2018)
  • 2022
  • 2021
  • 2020
    • élec Air musique de concert pour acousmonium, 9 mn 9 s
  • 2019
  • 2018
    • élec Amor Niger L. pour voix et support audio, 6 mn 30 s, Opus 53
    • élec BlindPoint musique de concert pour acousmonium, 30 mn 30 s, Opus 53
    • élec Le Livre des désordres suite d’œuvres acousmatiques, instrumentales et mixtes
  • 2017
  • 2016
    • élec Anamorphose musique de concert pour acousmonium, 10 mn 10 s, Opus 53
    • In-quarto pour deux violons, alto et violoncelle, 21 mn, Maison ONA
    • élec Origine musique de concert pour acousmonium, 17 mn 50 s, Opus 53
    • élec Tapovan musique de concert pour acousmonium, 18 mn 18 s, Opus 53
  • 2015
    • élec Chambre 44 pour flûte, saxophone alto, percussion, piano et support audio, 10 mn 30 s, Maison ONA
    • Sprint pour flûte, percussion, violon, violoncelle et contrebasse, 12 mn, Maison ONA
    • élec Túngara pour marimba et support audio, 6 mn 30 s, Maison ONA
  • 2014
  • 2013
  • 2012
    • élec Accordéon pour voix et support audio, 3 mn 24 s, Maison ONA
    • élec Post mortem (et puis paf !) pour chœur mixte et support audio, 8 mn 21 s, Opus 53
    • élec Selva musique de concert pour acousmonium, 6 mn 40 s, Opus 53
    • élec Syntagma musique de concert pour acousmonium, 13 mn, Opus 53
    • élec Volver musique de concert pour acousmonium, 6 mn 30 s, Opus 53
  • 2011
    • élec Hentai musique de concert pour acousmonium, 10 mn 32 s, Opus 53
    • élec Les Invasions fantômes musique de concert pour acousmonium, 32 mn 50 s, Opus 53
    • Poursuite pour violon et violoncelle, 10 mn, Maison ONA
    • élec Rivage de la soif musique de concert pour acousmonium, 10 mn, Opus 53
    • élec The Wall musique de concert pour acousmonium, 28 mn 40 s, Opus 53
    • élec Variations acousmatiques musique de concert pour acousmonium, 14 mn 26 s, Opus 53
  • 2010
  • 2009
    • élec Augen Licht musique de concert pour acousmonium, 25 mn, Opus 53
    • élec Face aux ténèbres pour saxophone alto, percussion, piano et support audio, 10 mn 30 s, Maison ONA
    • Gaillarde pour ensemble de flûtes à bec, 6 mn 30 s, Opus 53
    • élec L'Attente des nuages pour contralto et support audio, 38 mn 15 s, Opus 53
    • élec La Chasse à l'ombilic pour récitant, violon, alto, violoncelle et support audio, 11 mn 6 s, Opus 53
    • élec The Blob musique de concert pour acousmonium, 10 mn 11 s, Opus 53
  • 2008
    • élec Acid Folk pour clarinette, violoncelle et support audio, 42 mn, Opus 53
    • Flamme pour orchestre symphonique, 3 mn 30 s, Opus 53
    • élec Heimliches Licht pour flûte et support audio, 7 mn 25 s, Opus 53
    • élec Noir pour piano et support audio, 6 mn, Maison ONA
    • élec PH 27-80 pour chœur mixte et support audio, 1 h 20 mn 27 s, Opus 53
  • 2007
    • élec Carosello musique de concert pour acousmonium, 8 mn 14 s, Opus 53
    • élec Dionaea musique de concert pour acousmonium, 10 mn 10 s, Opus 53
    • élec L'Esprit en étoile musique de concert pour acousmonium, 14 mn 44 s, Opus 53
    • Spiritus Stella pour deux basses de viole, 10 mn, Maison ONA
  • 2006
    • Altitude pour alto, 12 mn 30 s, Opus 53
  • 2005
    • Oriflamme pour saxophone et percussion, 12 mn, Maison ONA
    • élec Salves pour flûte, saxophone, percussion, piano et support audio, 35 mn, Opus 53
    • élec Voix off' musique de concert pour acousmonium, 1 h 31 mn 2 s, Opus 53
  • 2004
  • 2003
    • élec La Tour des murmures musique de concert pour acousmonium, 1 h 10 mn, Opus 53
    • élec Le Tango de l’oubli musique de concert pour acousmonium, 4 mn 2 s, Opus 53
    • Silex pour flûte, clarinette, violon, alto et violoncelle, 13 mn, Opus 53
    • élec Sotto voce musique de concert pour acousmonium, 15 mn 22 s, Opus 53
    • Sphère pour orchestre symphonique, 6 mn 30 s, Opus 53
  • 2002
    • Confession pour soprano, flûte, percussion et violoncelle, 6 mn, Opus 53
    • Dédale pour soprano, flûte, percussion et violoncelle, 7 mn 10 s, Opus 53
    • élec Géométrie mystique musique de concert pour acousmonium, 4 mn 28 s, Opus 53
    • élec L'Heure exacte pour clarinette, saxophone, trombone, piano et support audio, 13 mn, Opus 53
    • élec La terre est ronde musique de concert pour acousmonium, 11 mn 5 s, Opus 53
    • élec L’Ivre d’avril musique de concert pour acousmonium, 4 mn 10 s, Opus 53
    • Mille soleils pour orchestre d'harmonie, 18 mn, Opus 53
    • Préhistoire pour soprano, flûte, percussion et violoncelle, 5 mn 10 s, Opus 53
  • 2001
    • élec Berechit musique de concert pour acousmonium, 6 mn, Opus 53
    • élec La Malédiction des flammes musique de concert pour acousmonium, 6 mn 11 s, Opus 53
    • élec Nautilus musique de concert pour acousmonium, 7 mn 44 s, Opus 53
    • élec Panique au bord de l'eau musique de concert pour acousmonium, 6 mn 5 s, Opus 53
    • élec Piano dans le ciel musique de concert pour acousmonium, 37 mn, Opus 53
    • élec Spirale musique de concert pour acousmonium, 18 mn 48 s, Opus 53
  • 2000
  • 1999
    • élec Le Mystère des tornades pour hautbois, harpe, alto, violoncelle et support audio, 25 mn 30 s, Opus 53
    • élec Les Joueurs de sons musique de concert pour acousmonium, 1 h 12 mn, Opus 53
    • élec Organe pour orgue et support audio, 12 mn, Opus 53
  • 1998
    • Cinq miniatures pour Barbe Bleue pour soprano, basse, flûte, clarinette, piano, violon, alto et violoncelle, 12 mn, Opus 53
    • Lachrymae pour six violes, 25 mn, Opus 53
    • Orange-Cité pour flûte, clarinette, percussion, piano, violon, alto, violoncelle et contrebasse, 8 mn 30 s, Opus 53
    • élec Terra incognita musique de concert pour acousmonium, 25 mn 42 s, Opus 53
  • 1997
    • élec Beethov’étonne musique de concert pour acousmonium, 4 mn 20 s, Opus 53
    • élec Ebene Sieben musique de concert pour acousmonium, 25 mn 40 s, Opus 53
    • élec Fanfare musique de concert pour acousmonium, 6 mn 41 s, Opus 53
    • élec Le petit oiseau va sortir musique de concert pour acousmonium, 14 mn, Opus 53
    • élec Lux tenebrae musique de concert pour acousmonium, 22 mn 14 s, Opus 53
  • 1996
  • 1995
    • élec Allégorie musique de concert pour acousmonium, 1 h 9 mn 30 s, Opus 53
    • Avalanche pour piano, 51 mn, Maison ONA
    • élec Exil musique de concert pour acousmonium, 12 mn 39 s, Opus 53
    • élec Golgotha musique de concert pour acousmonium, 26 mn 50 s, Opus 53
    • élec Hélice musique de concert pour acousmonium, 11 mn 58 s, Opus 53
    • Litanie pour les vierges pour deux chœurs d'enfants et douze cordes, 17 mn, Opus 53
  • 1994
  • 1993
  • 1992
    • Archéoptéryx pour flûte, hautbois, clarinette, saxophone, trombone, accordéon et piano à quatre mains, 13 mn, Opus 53
    • Ataraxie pour deux quatuors de flûtes à bec et ensemble de flûtes à bec, 12 mn, Opus 53
    • élec Cannibale pour guitare avec déclenchement d’un échantillonneur, 7 mn, Opus 53
    • élec Collection de timbres pour orgue et support audio, 25 mn, Opus 53
    • En effeuillant la marguerite pour hautbois (hautboïste-comédien), 15 mn, Maison ONA
    • Salamandre pour flûte, hautbois, clarinette, harpe, violon et violoncelle, 7 mn 30 s, Opus 53
    • Souvenir de craie pour flûte, hautbois, clarinette, saxophone, trombone, accordéon et piano à quatre mains, 4 mn, Opus 53
  • 1991
    • élec Charge maximale musique de concert pour acousmonium, 31 mn 50 s, Opus 53
    • Crapaud brillant pour clavecin, 8 mn, Opus 53
    • Interruption pour flûte, synthétiseur, violon, alto, violoncelle et comédien, 10 mn, Opus 53
    • élec Légende musique de concert pour acousmonium, 25 mn 45 s, Opus 53
    • élec Tom et la Licorne pour voix solistes, quintette à vent, ensemble instrumental et support audio, 1 h 30 mn, Opus 53
    • Torrents du miroir pour soprano, mezzo-soprano, contre-ténor, basse, flûte, saxophone, cor, trompette, trombone, violon et contrebasse, 17 mn, Opus 53
  • 1990
    • Alpage pour percussion électronique, 9 mn, Opus 53
    • élec Chanson pensive pour flûte, flûte en sol, clarinette, cor de basset, clarinette basse, alto et échantillonneur, 20 mn, Opus 53
    • Duel pour deux trompettes, 4 mn, Maison ONA
    • Hérisson cathédrale pour flûte, clarinette, violon, violoncelle, piano, célesta et clavecin, 19 mn, Opus 53
    • élec Le Labyrinthe de l'amour /2 pour ensemble de jazz et support audio, 21 mn, Opus 53
  • 1989
  • 1988
  • 1987
    • élec Messe à l'usage des vieillards musique de concert pour acousmonium, 32 mn 50 s, Opus 53
    • élec Musique à coudre musique de concert pour acousmonium, 41 mn 30 s, Opus 53
    • Nuit d'hiver pour hautbois, clarinette, cor, trombone, glockenspiel, harpe et deux violoncelles, 14 mn, Opus 53
    • Nuit d'hiver pour hautbois, clarinette, cor, trombone, glockenspiel, harpe, deux violoncelles et récitant, 14 mn, Opus 53
  • 1986
  • 1985
    • Fantaisie soluble pour clarinette, cor, percussion, violon, violoncelle et deux synthétiseurs, 14 mn, Opus 53
    • Froncement des yeux pour violon, violoncelle et synthétiseur, 15 mn, Opus 53
    • scénique La Cour des immortels du désir musique pour une chorégraphie de Denis Psaltopoulos, compagnie Ozonekasouze, 1 h 11 mn 5 s, Opus 53
    • Le Pistolet d'or pour deux violons, deux altos et deux violoncelles, 23 mn, Opus 53
  • 1984
    • élec Dix portraits pour trois synthétiseurs et support audio, 40 mn, Opus 53
    • élec Dix portraits (version acousmatique) musique de concert pour acousmonium, 38 mn 20 s, Opus 53
    • élec Le Labyrinthe de l'amour /1 musique de concert pour acousmonium, 3 mn 35 s, Opus 53
    • élec Ourlé du lac pour violon, synthétiseur et dispositif de transformation en temps-réel, 14 mn, Opus 53
    • élec Paysage pour violoncelle et support audio, 3 mn 30 s, Heugel
    • Quatuor “Non parmi les anges” pour soprano, violon, alto et violoncelle, 5 mn 10 s, Opus 53
  • 1983
    • élec Colloque musique de concert pour acousmonium, 15 mn 7 s, Opus 53
    • élec Le Lis vert musique de concert pour acousmonium, 37 mn, Opus 53
    • Six mélodies pour soprano et piano, 11 mn, Opus 53
    • élec Suite bleue musique de concert pour acousmonium, 19 mn 20 s, Opus 53
    • Vendredi, jour de liberté musique pour la représentation de la pièce éponyme de Hugo Claus par le Théâtre du Lys, 25 mn 15 s, Opus 53
  • 1982
    • Désir-Hiver pour chœur de femmes, 20 mn, Opus 53
    • élec Entre dames musique de concert pour acousmonium, 19 mn 30 s, Opus 53
    • Rêve lisse pour violon et deux synthétiseurs, 12 mn, Maison ONA
  • 1981
  • 1980
    • J.a.ch.H.16 pour trois synthétiseurs, 18 mn 45 s, Opus 53
    • élec L'Apocalypse d'Angers pour récitant et support audio, 50 mn 30 s, Opus 53
    • élec L'Apocalypse d'Angers (version acousmatique) musique de concert pour acousmonium, 50 mn 30 s, Opus 53
    • élec La Galerie pour trois corps sonores, trois synthétiseurs et support audio, 46 mn 30 s, Opus 53
  • 1979
  • 1978
    • élec Bocalises, grande suite musique de concert pour acousmonium, 36 mn 43 s, Opus 53
    • Souvenir de Pierre pour trois instruments ou plus, 5 mn, Opus 53
    • élec Trio pour violon, mandoline, synthétiseur et dispositif de transformation en temps-réel, 14 mn, Opus 53
    • Velours des dunes pour instrument à cordes et synthétiseur, 11 mn, Opus 53
  • 1977
    • élec Bocalises, petite suite musique de concert pour acousmonium, 19 mn 2 s, Opus 53
    • Boucles pour guitare à dix cordes, 5 mn, Opus 53
    • Concerto pour violon et orchestre symphonique, 18 mn, Opus 53
    • En sursaut pour soprano et violon alto, 10 mn, Opus 53
    • Le crin s'ébruite pour alto et percussion, 15 mn, Maison ONA
    • Objet-danse musique pour une chorégraphie de Dominique Dupuy, compagnie les Ballets Modernes de Paris, 1 h 33 mn, Opus 53
  • 1976

Liens Internet

(liens vérifiés en janvier 2023)

Vidéos

(liens vérifiés en janvier 2023).

Bibliographie sélective

Écrits de Denis Dufour
  • Denis DUFOUR, Vincent ISNARD, « Denis Dufour, entretiens avec Vincent Isnard. La composition de l’écoute », Collection Paroles, Éditions MF, Paris, avril 2021.
  • Denis DUFOUR, « Musiques mixtes : appellations incontrôlées ? », La musique mixte dans la création contemporaine, Journées nationales de la Musique Électroacoustique, 16ème édition du 17 au 21 novembre 2017, iBooks, ex-libris © Opus 53, Paris, Inédit, novembre 2017.
  • Denis DUFOUR, « Denis Dufour, compositeur », La Mémoire en acte - Quarante ans de création musicale, CDMC / Collection Paroles, Éditions MF, Paris, avril 2017, p. 103-104.
  • Denis DUFOUR, « Le Rire invisible », Le Rire en musique, Melotonia , Presse Universitaire de Lyon, sous la direction de Muriel Joubert et Denis Le Touzé, Lyon, 2017.
  • Denis DUFOUR, « Trio TM+ : Premières explorations », Musique et technologie – Regards sur les musiques mixtes,Portraits polychromes n° 23, hors-série thématique, INA, Paris, octobre 2016, p. 135-147.
  • Denis DUFOUR, « Écrire, composer, créer », Musique et technologie - Éveiller, enseigner, créer, Portraits polychromes n° 22, hors-série thématique, INA, Paris, 2015, p. 103-136.
  • Denis DUFOUR, « Denis Dufour [Terra Incognita, mais plus pour longtemps…] », entretien avec Max Renn, revue Coda - Musiques et cultures électroniques, Paris, avril 2004, p. 20-21.
  • Denis DUFOUR, « Quelques souvenirs en forme d’hommage », Ivo Malec, Portraits Polychrome n° 5, Michel de Maule, INA, GRM/CDMC, Paris, 2003, p. 61-62.
  • Denis DUFOUR, « Entretien avec Denis Dufour », réalisé par Clément Riot, revue Écouter Voir, Paris, mars 2003.
  • Denis DUFOUR et Alexandre YTERCE, « Rencontre au sommet dufouryterce », entretien recueilli par Steven Hearn et Aymeric Lozet, revue Octopus n° 14, 2002, p. 48-52.
  • Denis DUFOUR, « Futura : un festival dédié à la musique acousmatique et aux arts de support », Du sonore au musical : cinquante années de recherches concrètes, 1948-1998, actes du colloque organisé le 8 octobre 1998 à l’École normale de musique de Paris par le Centre d’études et de recherche Pierre Schaeffer, coordonné par Sylvie Dallet et Anne Veitl, L’Harmattan, 2001, p. 377-387.
  • Denis DUFOUR, « À propos du genre acousmatique », L’éducation musicale n° 486, Paris, novembre 2001, p. 20-23.
  • Denis DUFOUR, « Peu importe le son… pourvu que j’aie la forme ou une plastique musicale au-delà des sons », Le Son des musiques, entre technologie et esthétique, enquête conduite par François Delalande, Bibliothèque de recherche musicale, INA-Buchet/Chastel, Pierre Zech éditeur, Paris, 2001, p. 142-146.
  • Denis DUFOUR, « L’art acousmatique dans sa totalité », revue Licences n° 1 : 2000-2001, Les Éditions Licences, Paris, 2001, p. 31-35.
  • Denis DUFOUR, « Composition instrumentale et acousmatique », Acousmatique 1948-1998 - La musique concrète a fêté son jubilé, revue écouter voir n° 86, Revue des médiathèques et des bibliothèques, Paris, 1999.
  • Denis DUFOUR, Bruno GINER et Régis RENOUARD LARIVIÈRE, « Triple interview », Acousmatique, 1948-1998 la musique concrète a fêté son jubilé, revue écouter voir n° 86. Revue des médiathèques et des bibliothèques, 1999, p. 12.
  • Denis DUFOUR, « Entretien avec Denis Dufour », réalisé par Jonathan Prager, revue Ars Sonora, Paris. Première partie, Ars Sonora n° 5, avril 1997, p. 5-22. Deuxième partie, Ars Sonora n° 6, septembre 1997, p. 6-19. Troisième partie, Ars Sonora n° 7, mars 1998, p. 13-35.
  • Denis DUFOUR, « Enseignement de la composition de musique électroacoustique », 1967-1997, trente ans d’enseignement de la musique et de la danse en France, Marsyas, hors série n° 42, revue de pédagogie musicale et chorégraphique, Centre de ressources musique et danse de la Cité de la musique, Paris, mai 1997, p. 89-92.
  • François BAYLE, François DONATO, Denis DUFOUR, Marc FAVRE et Bertrand MERLIER, « Le point de vue de Denis Dufour sur l’interprétation des œuvres acousmatiques », compte-rendu de la table ronde réalisé par Hélène Planel, Thélème Contemporain, revue Ars sonora n°4, Ars Sonora, Paris, août 1996, p. 77-83.
  • Denis DUFOUR et all., « Support, narrativité », Réel / Virtuel, cinq questions d’acousmatique, publication interne de l’INA-GRM, février 1992.
  • Denis DUFOUR, « Rondo : l’œuvre acousmatique, ce qu’elle est, ce qu’elle n’est pas… », Vous avez dit acousmatique ?, revue Lien, Musiques et Recherches, Ohain (Belgique), 1991, p. 15-16.
  • Denis DUFOUR, « Les Espaces de l’extase », L’Espace du son II, revue Lien, Musiques et Recherches, Ohain (Belgique), 1991, p. 136-137.
  • Denis DUFOUR, « De l’écriture », Vers un art acousmatique, Rencontres Live 90, Groupe de Musiques Vivantes de Lyon, Lyon, 1991, p. 61-66.
  • Denis DUFOUR, « Explication de texte », Cahiers de leçons de choses, revue d’arts et de littératures, cinquième cahier, MEM/Arte Facts, Lyon, janvier 1982, p. 32-37.
  • Denis DUFOUR, Jean-Loup GRATON, Philippe MION et Jean-Christophe THOMAS, « Réinventer le concert », Le concert Pourquoi ? Comment ?, propos recueillis par Michel Chion, Cahiers recherche musique n° 5, INA-GRM, Paris, 1977, p. 75-81.
  • Denis DUFOUR, entretien avec François Delalande et Jean-Christophe Thomas, Groupe de recherches musicales n° 67, INA-GRM, novembre 1985.
Écrits sur Denis Dufour
  • Pierre BARADEL, « Denis Dufour, portrait d’un compositeur à travers l’analyse de Messe à l’usage des vieillards », soutenance pour le Diplôme d’Étude Musicale, classe de composition acousmatique du Conservatoire à rayonnement régional Perpignan-Méditerranée, 2011.
  • Michel FISHER, « Acuité d’écoute acousmatique et itinéraire timbrique », analyse de l’œuvre de Denis Dufour ‘Collection de timbres’ présentée lors du colloque Enseignement de l’analyse de l’Observatoire musicale français (OMF), Centre de recherches de la faculté de musique et musicologie de l’université Paris Sorbonne, publiée dans la revue Analyse musicale n° 30, février 1993, p. 29-37.
  • Vincent LAUBEUF, « Collection de timbres de Denis Dufour, une analyse selon l’écriture morphologique », mémoire de DEA sous la direction de Ivanka Stoïamova, Université Paris 8 UFR Arts, philosophie, esthétique, Département de musicologie, 1999.
  • Vincent LAUBEUF, « Denis Dufour et l’écriture morphologique », mémoire de maîtrise sous la direction de Daniel Kawka, Faculté de musicologie de l’université Lyon II, 1998.
  • Jean-Christophe THOMAS, « Aridité Féconde », Lectures phénoménologiques, INA-GRM, Paris, février 1988.

Discographie

  • Denis DUFOUR, Avalanche, François-Michel Rignol : piano, 1 CD Kairos, 2022, 0015088KAI
  • Denis DUFOUR, Complete Acousatic Works Vol.1, 16 CD Kairos, 2021, 0015076KAI.
  • Denis DUFOUR, Stèle pour Pierre Schaeffer ; Oriflamme ; Duel ; Cinq formes d’appel ; Poursuite ; Spiritus Stella ; Dune, dans « Inventions », 1 CD DigiSleeve Motus, 2018, M218010.
  • Denis DUFOUR, Ryoan-ji (le jardin de Pierre de Kyoto), dans « Singularities #4 », avec des œuvres de Jacopo Baboni Schilingi, Robert Scott Thompson, Maria Cristina Kasem, Chris Brown, Pierre Boeswillwald, David Shea et Martina Claussen, 1 CD Digisleeve Singularities, 2017.
  • Denis DUFOUR, Nautilus, dans « Passage à Paris », avec des œuvres de Maxime Barthélemy, Hém-Ish, Maylis Raynal, Alejandro Gomez Villagomez, Esteban Zuniga Dominguez, Eric Broitmann et Sina Fallazadeh, 1 CD Digipack Licences, 2017.
  • Denis DUFOUR, « PH 27-80 », 1 CD Digipack EAP Records, 2013, EAPR01.
  • Denis DUFOUR, La Malédiction des flammes, dans « Brûlures des langues I-X », avec des œuvres de Fabien Saillard, Guillaume Hermen, Emmanuel Mieville, Frédéric Kahn, Vincent Laubeuf et Alexandre Yterce, coffret CD Licences, 2009, LCS CD 01.
  • Denis DUFOUR, Bocalises, grande suite ; Le Lis vert, dans « Bocalises », 1 CD DigiFile Motus, 2006, M306011.
  • Denis DUFOUR, Suite en trois mouvements ; Exil ; Hélice ; Elixir ; La terre est ronde, dans « La Terre est ronde », 1 CD DigiFile Motus, 2003, M303006.
  • Denis DUFOUR, Le Labyrinthe de l’amour dans « Licences n°2 2002-03 », avec des œuvres de Maki, Jacques Lejeune, Catherine Pougeol, Isabel Trocellier et Alexandre Yterce, revue-cd Licences, 2003.
  • Denis DUFOUR, Terra incognita ; Ebene Sieben ; Lux tenebrae, dans « Terra incognita » 1 livre-CD Motus, coll. MotusAcousma, 2002, M199005.
  • Denis DUFOUR, La Nuit du Dibdak dans « Virtual Zoo », avec des œuvres de Philippe Blanchard, Jean-Louis Belmonte, Agnès Poisson, Marc McNulty, Helm & MotoFondue, Bérangère Maximin, Reinhold Knirps, Frédéric Kahn, Bernard Donzel-Gargand & Els Dekker, Jonathan Prager, Marc Favre & Lucia Recio & Gérard Le Vot, Jaqui Détraz, Rodrigo Sigal, Françis Dhomont, Patricio Villaroël & Philippe Deschepper & François Merville, Bruno Bocca, Alex Grillo, Eduardo Miranda, Thierry Lestien, Vincent Laubeuf, Patrick Devers, Petri Kuljuntausta, Rossana Maggia et Artotem, 1 CD Cristal Studio Forum, 2001.
  • Denis DUFOUR, Caravaggio ; Entre Dames, dans « Licences n°1 2000-01 », avec des œuvres de Michel Chion, Georges Gabriele et Alexandre Yterce, revue-cd Licences, 2001.
  • Denis DUFOUR, Où est maintenant la forêt ?, 1 CD Cristal Motus, 1997, M197001.
  • Denis DUFOUR, Tandem oblique dans « L’Air du Large », Annie Ploquin-Rignol : flûte, François-Michel Rignol : piano, avec des œuvres de Bertrand Dubedout, Philippe Leroux, Daniel Tosi et Bruno Giner, livre-cd Motus, 1998, M 298004.
  • Denis DUFOUR, Douze mélodies acousmatiques ; Dix portraits, dans « Dix portraits », 1 livre-CD Motus, 1997, M197002.
  • Denis DUFOUR, Bocalises, petite suite dans « XIX° Concorso internazionale Luigi Russolo di musica elettroacustica », avec des œuvres de Chin Chin Chen, Manuel Rocha Iturbide, Giovanni Verga, A. Russolo, G. Balla et Santoboni Maggia, 1 CD, 1997, ef-er P’97-2.
  • Denis DUFOUR, « Chrysalide », 1 CD Digipack INA-GRM, 1996, e5007.
  • Denis DUFOUR, Ataraxie dans « L’Air du temps », Ensemble de flûtes à bec de Lyon, direction : Madeleine Mirocourt, avec des œuvres de George Frederic Haendel, Arnold Cooke, Antonio Vivaldi, Heberhard Werdin et Georg Philipp Teleman, 1 CD, 1993, MA 2005.
  • Denis DUFOUR, Bocalises petite suite ; Suite bleue ; Messe à l’usage des vieillards, dans « Messe à l’usage des vieillards », 1 CD Cristal Accord, 1992, 202222.
  • Denis DUFOUR, « Notre besoin de consolation est impossible à rassasier », 1 CD Cristal INA-GRM, 1991, c1010.
  • Denis DUFOUR, Torrents du miroir dans « 3ème Concours de Composition André Jolivet », avec des œuvres de Antonio Pedro Palacio, Patrice Challulau et Philippe Liederman, 1 CD, 1991, ENMD03.
  • Denis DUFOUR, Rêve lisse dans « TM+ Trio instrumental électroacoustique », avec des œuvres de Yann Geslin, Laurent Cuniot, Philippe Mion et Bernard Parmegiani, 2 cd INA-GRM, 1984, 9115-16 TM.
  • Denis DUFOUR, Souvenir de Pierre dans « Schaeffer, Paroles et Musique », avec des œuvres de Pierre Schaeffer, INA-GRM, 1982, 9106 SC.
  • Denis DUFOUR, Cueillir à l’arbre un petit garçon dans « Duo Delangle, saxophone et piano », Claude Delangle : saxophone, Odile Delangle : piano, avec des œuvres de Jacques Charpentier, Antoine Tisné, Marius Constant et Olivier Messiaen, 1979, REM 10864.