« Ce sont les épisodes de la vie d'une femme invisible. Moi, Aphrodite, elle me plaît bien, elle est à la fois si loin qu'on ne peut la voir, mais aussi, elle a traversé les temps malgré qu'on ait pu la trouver impudique, malgré qu'on l'ait brûlée plusieurs fois pendant l'Inquisition. Et puis, elle danse. Alors, modestement, je me suis mis à évoquer ses émois, même si je l'oublie dans les fils de la musique... et c'est pour ça que je donne les titres des différentes parties, mais est-ce une indication ? : Une première danse - un morceau de peur - une deuxième danse - un mouvement d'amusement - une troisième danse - une bonne portion de trip charnel - enfin, une danse sauvage d'Aphrodite. Oui, je ne sais pas si ça éclaire grand chose... »
Luc Ferrari.