L’un des thèmes de l’œuvre est celui du labyrinthe. Je ressens dans le sens du texte une proximité avec les espaces impossibles de Max Cornelius Escher, graphiste “d’un autre monde”, de “Relativité”. Relativité des points de fuite vers lesquels nous nous approchons constamment “sans y parvenir” jamais, troublés par cette violation continuelle et rigoureuse des lois de notre perspective dont Escher a mathématiquement fait émerger le caractère illusoire.
Bernard Parmegiani.