Spécialement dans la deuxième miniature, les doigts agissent comme une pédale, faisant en sorte que la résonance de l’instrument évolue dans le temps à des rythmes précis, pour que la résonance ait son propre phrasé. En plus, et pour obtenir le legatissimo demandé sans l’utilisation de la pédale, des changements silencieux de doigts sont parfois nécessaires. L'attention est également attirée sur la manière dont les touches sont libérées, rendant ainsi la fin du son un élément important de la musique.
Nicolas Tzortzis.