<p>Il s'agit d'un parcours poétique habité par la métaphore du vol d'un oiseau. Le violon et l'alto tentent de s'unir avec des phrases brisées laissant entendre de nombreuses courbes mélodiques ascensionnelles.</p><p><em>« Alors que je montai plus haut,<br />Ma vue en resta éblouie,<br />Et la conquête la plus forte<br />Dans l'obscurité se faisait »</em></p><p>Jean de la Croix (traduction de Bernard Sesé)</p><p><em>Xavier Dayer, avant-programme du festival Archipel.<br /></em></p>